mardi 30 août 2011

Le cybermarché Ocado teste un nouveau concept de présence physique

Les mobinautes britanniques peuvent remplir leur panier d'achat en scannant des produits sur une vitrine physique mise en place par le pure player.

Le cybermarché britannique Ocado teste actuellement un nouveau genre de boutique physique dans le centre commercial londonien One New Change : une vitrine affichant les produits les plus achetés sur le site du pure-player et les codes-barres correspondants. Les consommateurs sont invités à remplir leur panier d'achat sur le site marchand en scannant ces codes-barres au moyen de l'application iPhone et Android "On the Go" de l'e-commerçant.

Ils n'ont plus ensuite qu'à choisir un créneau de livraison et payer, puis peuvent reprendre leur chemin. Ocado envisage de déployer ces vitrines dans tout le pays. Une façon pour le pure player de se forger une présence physique, mais aussi de renforcer considérablement l'apport du canal mobile, qui représente déjà 15 % des transactions enregistrées par le cybermarché.

Source: Le Journal du Net

lundi 29 août 2011

Insolite : Sony UK expérimente des lunettes à sous-titres

La branche anglaise de Sony est en train de développer des lunettes d'un genre nouveau. Ces dernières afficheraient les sous-titres directement sur les verres afin de libérer l'espace sur l'écran de projection. Une mini-révolution qui se destine en priorité aux personnes souffrant de surdité.

Le concept relayé par Yahoo News a de quoi intriguer de prime abord et pourtant il trouve bien vite des utilisations insoupçonnées. Initialement développé pour des personnes malentendantes, le procédé pourrait trouver un usage très intéressant chez les fans de films en version originale sous-titrée. Imaginons le cas d'une personne atteinte de surdité souhaitant se rendre au cinéma pour voir le blockbuster du moment en français. Malheureusement pour elle, les infrastructures actuelles ne lui permettraient pas de profiter des dialogues et autres ambiances sonores. Le dispositif de Sony UK lui permettrait alors de s'immerger dans l'histoire avec des sous-titres spécifiques à ses lunettes tout en profitant d'une séance ouverte à tous.

Selon Tim Potter qui travaille sur le design des fameuses lunettes : « les sous-titres (ou les closed captions) d'un film sont ainsi directement affichés à même les verres, ce qui donne un effet en surimpression de l'écran qui ne concerne que le porteur des lunettes [...] il n'y a pas besoin d'accomoder excessivement l'oeil. On évite un décalage entre l'écran et les mots. C'est comme s'ils étaient ensemble. » Les propos pour cette technologie sont encourageants et le journaliste de la BBC, Graham Satchell, a pu s'entretenir avec malentendant britannique au sujet de ce progrès. Retrouvez la vidéo en suivant ce lien.

Si cette invention arrive à terme, on pourrait envisager d'autres usages pour les amateurs de films en VOST qui auraient alors l'avantage de ne plus avoir une portion d'image parfois consacrée aux sous-titres dans certains Blu-ray ou DVD. Une idée que nous ne manquerons pas de suivre avec attention.


Lunettes 3D Sony TDG-BR100

visuel non-contractuel

Source: Clubic.com

L'iPad conquiert British Airways et United Airlines

La tablette d'Apple a été récemment introduite en tant qu'outil de travail dans deux compagnies aériennes, l'une outre-Manche, British Airways, et l'autre outre-Atlantique, United Airlines.


Ipad
Chez la compagnie britannique, la diffusion de l'iPad (dernier modèle, l'iPad 2 donc) fait l'objet d'un essai auprès de 100 membres de l'équipage, a annoncé la société il y a quelques jours. Objectif : améliorer le service client. Grâce à la tablette, les hôtesses et stewards pourront en effet troquer les documents papier listant les centaines de passagers à bord contre un simple rafraîchissement d'écran, la connexion des appareils étant assurée via les réseaux mobiles. Grâce à ce dispositif, le personnel aérien sera en mesure d'identifier rapidement l'emplacement de chaque passager ainsi que ses compagnons de voyage, ses préférences alimentaires.

L'iPad devrait également faciliter l'accès aux emplois du temps et aux manuels de sécurité ainsi que la liaison avec le personnel non à bord. Si l'essai se révèle fructueux, British Airways déploiera ce dispositif plus largement dans la compagnie au cours des mois à venir. Et la société, qui prend en compte les remarques du personnel comme des clients, pense déjà à de nouvelles manières de tirer parti de la tablette.

Chez la compagnie américaine United Airlines, ce sont les pilotes qui verront leur attirail allégé : au lieu de leur traditionnel « sac de vol », qui contient en particulier des manuels de vol papier et pèse plus de 17 kg, ils accéderont en effet à ce contenu sur iPad via une application dédiée, la « Jeppesen Mobile FliteDeck app ». D'ici la fin de l'année, tous les pilotes d'United Airlines (ainsi que de Continental Airlines, avec qui la société a fusionné en 2010) devraient se voir remettre un iPad, ce qui représente 11 000 tablettes, rapporte PCMag d'après une annonce de la société faite mardi dernier.

United Airlines souligne l'aspect développement durable lié à cette dématérialisation des documents de vol : la société prévoit d'économiser 16 millions de feuilles de papier par an ainsi que plus d'un million de litres de kérosène (en conséquence de l'allègement de poids). Sans compter la limitation des risques d'accident puisque les pilotes accéderont aux informations beaucoup plus rapidement. L'action d'United Airlines s'inscrit dans la continuité de celle d'autres compagnies aériennes, telles qu'Alaska Airlines en mai dernier, mais aussi American Airlines et Delta Airlines.

Source: Clubic.fr

StumbleUpon apporte 50% du trafic Réseaux Sociaux aux US

Quel réseau social apporte le plus de trafic en terme de site référent, aux Etats-Unis ? Non ce n’est pas Facebook, ni Google +, ni Twitter. C’est … StumbleUpon.
C’est ce que dit l’observatoire Global Stats USA de Statcounter, en date du 11 août (graphique ci-dessous).
Classement US août 2011 – social media referrers :
1. StumbleUpon 50,22% du trafic référent Social Media
2. Facebook 38,93%
3. Reddit 3,61%
4. Youtube 3,34%
5. Twitter 2,19%
6. Digg 0,56%
statcounter global stats US
Au niveau France, par contre on a un tout autre portrait des apporteurs de trafic social. StumbleUpon comme on peut s’y attendre n’est pas un grand envoyeur de visiteurs, contrairement à Facebook ou Youtube.
Classement France août 2011 – source de trafic social :
1. Facebook 66,55%
2. Youtube 19,39%
3. StumbleUpon 6,89%
4. Twitter 4,09%
StatCounter global France Reseaux sociaux
Si on s’amuse à regarder à présent au niveau mondial, Facebook est toujours en tête avec 59,78% des parts d’apporteur de trafic en tant que réseau social (mais il est en forte régression), StumbleUpon 27,78% (en forte progression), et Youtube loin derrière en 3è place avec 5,78% (stable).

Source: Vincent Abry

LinkedIn Debuts Embeddable Job Application Tool For Companies


In April, LinkedIn launched new customizable plug-ins, which are features from the professional social network that can be customized and embedded on websites with minimal effort. LinkedIn plug-ins launched with the ability to add Member Profiles, Company Info, and theLinkedIn share button to websites. And today, LinkedIn is rolling out a major plug-in to companies—Apply With LinkedIn.
The new plug-in (initial details on the feature were originally revealed by GigaOm in early June), puts an “Apply with LinkedIn” button to any company website. Companies can customize the look and feel of the “Apply with LinkedIn” module to feel like part of a specific branding. And companies can manage submissions by routing applications to email address or a web app for applying for a job. The plug-in can also integrate with Applicant Tracking Systems, and only involves a small snippet of code to embed on a site.
Some of the first companies to debut “Apply with LinkedIn” button on their company websites include Netflix, TripIt, and Photobucket. LinkedIn says another thousand companies will be rolling out the Apply With LinkedIn button.
From the job applicant’s perspective, you’ll see a description of job and company, and once you click on the “Apply with LinkedIn” button, you’ll be able to preview and update your profile in real time. Once you apply, LinkedIn will also show you your professional connections that work at the company in case you want to reach out to these individuals about the job. You’ll be able to send a note to these connections from the module.
If you don’t know anybody at the company, LinkedIn will show you connections who can introduce you to someone there (LinkedIn says that on its network, referrals are the top source of external hires at companies). 


Finally, LinkedIn will record all “Apply with LinkedIn” submissions in the “Saved Jobs” tab so you have a record of all the jobs you’ve applied to, even off of LinkedIn’s site. 


Considering how frequently LinkedIn is used for job applications, research and networking, this plugin provides real value for both companies and job seekers. And the ability to add personal data to job applications (i.e. connections who work at a company you are interested in working for) is compelling.
LinkedIn’s Share plug-in is seeing impressive results, and traffic is exploding on the networkfollowing its IPO in May.
The company is ramping up advertising as well, debuting new social ad formats that leverage members’ actions on the site to serve more targeted ads. Considering how Facebook is minting money off of social ads, it makes sense for LinkedIn to maximize revenue from this channel.
What’s unclear is if the “Apply With LinkedIn” tool will have any financial benefits for the social network.
SOURCE : Techcrunch

Consommation énergétique : juste un soucis de compréhension

Consommation énergétique : des lacunes dans la compréhension IBM a dévoilé la semaine dernière les conclusions de son étude « 2011 IBM Global Utility Consumer Survey», faisant notamment état de données spécifiques à la France.
L'étude « 2011 IBM Global Utility Consumer Survey », révèle qu'un grand nombre de consommateurs dans le monde ne comprend pas l'unité de base de tarification de l'électricité ainsi que d'autres concepts énergétiques utilisés par les fournisseurs d'énergie. IBM identifie également une liste de modèles comportementaux cruciaux qui peuvent potentiellement impacter la façon dont les fournisseurs d'énergie communiquent avec les consommateurs.

IBM a enquêté auprès de plus de 10 000 personnes dans 15 pays différents pour étudier les exigences et les besoins des consommateurs d'énergie du monde entier. Les résultats soulignent un fossé important entre ce que les consommateurs savent actuellement et ce qu'ils auraient besoin de savoir pour réduire leur consommation d'énergie et bénéficier des initiatives d'énergie plus intelligente. Plus de 30% des sondés n'ont, par exemple, jamais entendu les termes de « dollar par Kwh » ou l'équivalent dans une autre monnaie, et plus de 60% ne connaissent pas l'existence des réseaux et des compteurs électriques intelligents.

L'étude révèle aussi que le niveau de connaissance est extrêmement lié à la volonté de changement des personnes interrogées en matière de consommation et d'économies énergétiques ainsi qu'à la mise en place d'initiatives énergétiques locales. 61% des personnes ayant une connaissance solide des technologies énergétiques et des conditions de tarification considèrent ainsi le déploiement des compteurs et réseaux électriques intelligents comme positif, contre seulement 43% des individus avec des connaissances faibles en ce domaine. 

Concernant plus spécifiquement notre pays, sur 315 personnes sondées, on apprend que les consommateurs d'électricité français sont deux fois plus enclins que l'ensemble de la population sondée – à l'exception d'un pays - (le Danemark) à identifier et comprendre leurs dépenses et l'unité de facturation (euro par Kwh).

Ensuite, nos concitoyens sont deux fois plus nombreux que dans n'importe quel autre pays étudié à comprendre la formule « tarification au temps d'utilisation »

La France, à quasi-égalité avec les Pays-Bas, est aussi le pays qui a le plus grand nombre de consommateurs ayant une connaissance solide des mesures et réseaux intelligents. Paradoxalement c'est également en France que le pourcentage des sondés n'ayant aucun savoir du tout sur ces sujets est le plus élevé.

Enfin, plus de 60% des consommateurs français s'adressent à leurs fournisseurs d'énergie lorsqu'ils ont des questions concernant leur consommation. C'est le pourcentage le plus élevé de l'ensemble des pays étudiés. C'est aussi la population qui se fie le plus à son gouvernement pour les informations liées à l'énergie.
« Il y a eu des avancées majeures en matière de nouvelles technologies économes en énergie, de nouveaux programmes et de nouvelles primes, mais la plupart du temps le marché observe plus de confusion que prévu chez les consommateurs » déclare Michael Valocchi, Vice-Président, Global Energy & Utilities Industry Leader pour IBM Global Business Services. « Cette année, l'étude met le doigt sur le besoin et l'opportunité d'un retour aux bases et d'une éducation des consommateurs en utilisant des termes qu'ils comprennent, ainsi que des mécanismes comportementaux et des canaux de communication qu'ils connaissent déjà. Les gens veulent sauvegarder l'énergie ; il faut simplement que nous améliorions notre façon de leur montrer comment y parvenir. »



Source: Enerzine

lundi 22 août 2011

Microsoft veut se lancer dans... le chauffage collectif

Copyright Reuters
Copyright ReutersCopyright Reuters
Les chercheurs du numéro un des logiciels suggèrent d'utiliser la chaleur dégagée par les « data centers » des géants de l'Internet pour chauffer des immeubles d'habitation.
Le progrès ne va pas sans inconvénients. La preuve avec la révolution du « cloud computing » (informatique à distance) qui, si elle est source d'économies pour les entreprises (« La Tribune » du 30 mars), n'en pose pas moins un véritable problème sur le plan énergétique. Grands comme plusieurs terrains de football, les « data centers » (centres de données) deGoogle, Amazon, Microsoft et de l'ensemble des autres fournisseurs de services de « cloud computing », où sont stockées les données d'entreprises et de particuliers, ne représentent pas moins d'un quart de la facture d'électricité du secteur de la high-tech, à l'échelle mondiale. Notamment en raison des systèmes utilisés par les « data centers » pour refroidir leurs milliers de serveurs, qui dégagent une chaleur considérable.
Cette chaleur, au lieu de la combattre, pourquoi ne pas l'utiliser pour chauffer des immeubles ? Telle est la thèse que viennent de développer dans une étude des chercheurs de Microsoft et de l'université de Virginie. Sur le plan technique, les énormes centres de données des fournisseurs de « cloud computing » seraient divisés en petits « data centers » comprenant quelques dizaines de serveurs. Lesquels seraient installés dans des immeubles de bureaux et d'habitation, et raccordés au système informatique du fournisseur de « cloud » par Internet. « D'une température de 40 à 50 degrés, la chaleur rejetée par les serveurs est parfaite pour le chauffage collectif », assure l'étude.
Problèmes techniques
Ce recyclage éviterait aux gestionnaires des centres de données d'utiliser des systèmes de refroidissement, et la dispersion de leurs serveurs ne les obligerait plus à construire des « data centers » gigantesques. Au total, ils pourraient économiser entre 280 et 324 dollars (196 et 227 euros) par serveur et par an, selon l'étude. « En capturant la moitié du marché américain du chauffage résidentiel et de bureau, l'industrie high-tech pourrait doubler de taille sans augmenter son empreinte carbone », ajoute l'étude. Outre ces économies et les répercussions positives, en termes d'image, d'une réduction de leur empreinte carbone, les fournisseurs de services de « cloud computing » bénéficieraient de revenus supplémentaires, grâce à la facturation de cette source de chaleur aux particuliers et aux entreprises. Ces derniers profiteraient, eux, de la proximité géographique des serveurs, qui diminuerait le temps de traitement de leurs données informatiques.
Séduisante sur le papier, cette idée d'utiliser les serveurs comme des radiateurs se heurte cependant à plusieurs réalités techniques. À commencer par le climat : en été, les 40 à 50 degrés générés par les serveurs ne seront d'aucune utilité aux habitants, au contraire. Il faudra donc débrancher les serveurs, ce qui les empêchera de remplir leur mission d'origine, à savoir le stockage et le traitement de données.
Ensuite, comment les centres de données pourront-ils gérer la maintenance de serveurs éparpillés aux quatre coins des États-Unis ? Certaines réparations peuvent difficilement s'effectuer à distance. Qu'à cela ne tienne, les chercheurs suggèrent de proposer à certains habitants de procéder eux-mêmes à des manipulations sur les serveurs, en échange d'une diminution de leur facture de chauffage.
Plus grave, la multiplication de petits centres de données au sein d'immeubles d'habitation ou de bureaux soulève plus que jamais la question de la sécurité des données informatiques. Enfin, nul doute que les compagnies américaines d'énergie comme Exelon Constellation verront d'un très mauvais oeil Google et autre Amazon marcher sur leurs plates-bandes en commercialisant la chaleur rejetée par leurs serveurs.
Source: LaTribune

7 ways the military is embracing cleantech

 The U.S. government is growing into one of the most important cleantech customers. It’s been investing and proselytizing the value of clean power, biofuels and energy efficiency products and services for job creation, energy security and (insert your favorite cliché here). And it’s a natural extension that it also should set an example as a major consumer of these technologies.
The U.S. Defense Department, which uses 80 percent of the energy consumed by the federal government, is increasing its efforts to fund and use cleantech. A lot of these efforts are centered on drafting purchase plans and testing technologies in the field and one thing to consider is that larger companies might have an easier time convincing the military to buy than startups.
Here’s a list of some of the military’s plans and projects:
1. Cleaner fuels for ships and planes: The Navy has teamed up with the Departments of Energy and Agriculture to help finance biofuel plants that will be built and operated by private companies. Announced this week, the $510 million plan will rely on the agriculture department to evaluate feedstocks and the energy department to select viable technologies to convert the feedstocks (mostly wood chips and plants) into fuels that can be blended with or replace existing jet and diesel fuels. The Navy, which already has been testing fuels made with algae and other sources, wants to increase its biofuel use over time and will eventually need 8 million barrels per year by 2020.
2. Energy storage on battle fields: The Navy also has another deal going with the energy department to focus on developing energy storage systems that can provide a more long-lasting power supply for military ops, thereby reducing the need to resupply fuels for power generation. The two agencies also are angling for funding for grid storage studies.
3. Clean power bases: The Army wants to see more solar and wind power installed at its bases. The Army Secretary John McHugh held a press conference last week to make that point and, more importantly, to answer criticism by project developers that the process for selling the Army a solar or wind project is too bureaucratic. The solution is to set up more bureaucracy, eh, a task force to streamline the procurement process. The Army wants 25 percent of its electricity coming from renewable sources by 2025.
4. What the Air Force is up to? Back in 2006, the Air Force said it was the largest renewable energy buyer within the federal government. According to the U.S. Environmental Protection Agency, the Air Force is the third largest federal purchaser but still ahead of the Army and the Navy. Last month, this military branch outlined its plan to increase the use of biofuels and energy efficiency measures in running their training programs and missions. It also wants to add 1,000 MW of renewable energy at its bases in the next few years.
5. Competition among the biggies: Selling products and services to the military takes time and, naturally, money. Big companies in various renewable energy and energy efficiency fields already are jockeying for contracts. Earlier this month, Boeing and Siemens said they will work together to sell smart grid and other cleantech to the defense department. Details of what the two companies will do are scarce, but they are targeting thedepartment’s well advertised call to cut energy use and reliance on fossil fuels.
6. But startups can get a piece of the action: The defense department prides itself on embracing cutting-edge technologies and investing in some of them through its DARPA program. That creates opportunities for startup companies. In fact, DARPA recently askedfor proposals to build energy storage systems that can provide uninterrupted power supply at military bases. The idea, again, is to make these bases more self-sufficient so that they don’t need fuel resupply often.
7. Who is already contracting for the military? It’s not as if the military suddenly realized just now the importance of smart grid, energy storage and renewable energy generation for meeting their environmental and battlefield goals. Many companies already have gotten research and development contracts over the years to make their technologies a good fit for the military and, later, for the general public. Some of the newer projects include the one by International Battery, which has gotten a $730,441 contract from the Army to develop a lithium-ion battery system for tanks and other armored vehicles. The Navy tested algae fuel from Solazyme before the company held an initial public offering this year. Alphabet Energy just won contracts totaling $1.48 million from the Army and the Air Force to design systems that will generate electricity from waste heat. Viridity Energy signed agreements with the Defense Logistics Agency Energy and with an Army base in Maryland to come up with plans on using various demand-response and energy storage equipment to use energy more efficiently.

Source: GigaOM

Top Ten Cleantech Initiatives of Cisco Systems


Cisco Systems is a multinational corporation based in the United States. Cisco Systems designs, manufactures, and sells consumer electronics and voice, communications, and networking services and technologies. The headquarters of Cisco Systems is in San Jose, California. Cisco Systems is often cited as the biggest technology corporation in the world. Green is about doing the right thing and providing customers with solutions and products that assist them in achieving their “green goals.” As part of their commitment to the environment, Cisco pledged to reduce carbon dioxide emissions 25 percent by 2012. Here are just a few of the things Cisco Systems provides to their customers to become much more energy efficient and environmentally conscious.
1) Green Strategies. Cisco implements a number of green strategies in their office and promotes what they do online so that other businesses can do the same. This includes activating sleeps settings on all idle monitors and computers because it can save $75 annually per computer in power costs. Other things to do is replace CRT monitors with efficient LED monitors, converge multiple networks into a single infrastructure in an effort to decrease the quantity of devices and energy used, and purchasing IT products that provide several functions instead of just one, for example the Cisco platform offers the router, VPN, firewall, Power over Ethernet switch, telephony gateway, WiFi access point, and voice messaging in one compact product.
2) One Million Acts of Green. Cisco’s One Million Acts of Green shows how easy it is for anyone to better utilize resources provided by the planet. Launched in 2008, acts can include changing a light bulb to something that is more energy efficient, like an LED bulb, turning off the kitchen faucet when between dishes or even adding solar panels to a home or office. Small and large acts are accepted because every act will someone improve the environment. On the website, individuals “pledge” to complete the act and once completed, Cisco calculates the amount of greenhouse gases that was saved by doing that act. Every small act adds up to a lot of greenhouse gas emissions saved!
3) Green Wireless Strategies. With the evolution of mobility technologies, Cisco has created their ownwireless design and product development to ensure that all products are eco-friendly. Cisco Mobility Solutions assist businesses in optimizing their resources and decreasing their carbon footprint through a number of measures, including reducing the need to travel and compute, creating flexible work spaces, lowering energy consumption, and providing ways for employees to be productive at their home and not have to come into the office.
4) Cisco TelePresence. The Cisco TelePresence acts upon the need for businesses and organizations to communicate cross borders without having to necessarily travel, thereby reducing carbon dioxide emissions with flying. Cisco TelePrensence allows businesses to increase global impact without increasing their carbon footprint. It enables “in-person meetings” without the necessary traveling. With the program, businesses can, “Reduce the need for flying; lessen your organization’s impact on the environment through reduced travel; meet with more locations more frequently at a fraction of the cost; solve problems faster by connecting people in multiple locations at one; [and] accelerate your corporate green initiatives.”
5) The Cisco EcoBoard. The Cisco EcoBoard looks at how Cisco can reduce the effects of all operations and products on the environment. The EcoBoard was established in 2006 to lead new company environmental sustainability initiatives and to set a number of goals and priorities throughout all the departments. The objective is to not only decrease Cisco’s carbon dioxide emissions, but also provide new opportunities to customers who want to behave in a more environmentally sustainable fashion. The EcoBoard’s commitment is highlighted in three actions – “Operations: Lessen our emissions of greenhouse gases; Products: Maximize product functionality and performance while optimizing and reducing power consumption; [and] Architecture: Deliver networking architectures and solutions that enable customers to achieve environmental goals.”
6) Waste Management Incentives. From the product design to its use, Cisco is always looking atviable ways to reduce waste. Cisco engineers, supply chain teams and manufacturers look at the increasing problem of waste to locate new solutions, including new designs, materials, and processes. Cisco has been instrumental in designing products that can easily disassemble to make recycling the components a lot easier. Cisco also uses recyclable packaging to encourage consumers to recycle.
7) Take Back and Recycle Program. The Cisco Take Back and Recycle Program provides assistance to businesses that want to properly return and recycle old Cisco products that they no longer need in their offer. All equipment and associated brands can be included in this program. Cisco gets the returned equipment and then recycles it in a manner that exceeds all current environmental regulations. If a business requests, Cisco will provide a “Certificate of Destruction” to prove that the equipment has been returned and recycled properly.
8 ) Cisco Unified Communications Redefine the Mall Experience. Everyone sees signs at malls for new products and news about the malls. Malls and shopping centers can now serve all the needs of the customers and tenants by delivering all the necessary information in real time. Through the Cisco Digital Mall Media solution, the malls can maintain intelligent media distribution network throughout the premises. The digital signage not only promotes brand awareness and information on new products, but it has lower operating and energy management costs. Not only that, but it also decreases the need to plaster paper signs on the mall.
9) Cisco EnergyWise. Cisco EnergyWise allows companies to manage their power. The Cisco EnergyWise technology allows companies to measure, report, and reduce their overall energy consumption throughout their entire corporate infrastructure. It will positively impact the company’s energy budget for the entire facility. EnergyWise is part of Cisco’s Borderless Networks program that looks to accelerate business innovation, protect assets while mitigating risks, maintain full business continuity, and maintain positive growth via productivity.
10) Cisco Home Energy Management. Cisco’s Home Energy Management Program offers updated energy and budgetary information to help homes and offices optimize home energy use. With this solution, individuals can gain visibility into their home and/or office energy usage and have control over the amount of energy used. The Home Energy Management Program allows individuals to save energy as well as money with demand response, manage their energy budget based on the peak pricing and the time of use, protect the environment by decreasing carbon dioxide emissions and control and view energy use of all power-consuming appliances.
Article by Shawn Lesser, Co-founder & Managing Partner of Atlanta-based Watershed Capital Group – an investment bank assisting sustainable fund and companies raise capital, perform acquisitions, and in other strategic financial decisions. He is also a Co-founder of the GCCA Global Cleantech Cluster Association ”The Global Voice of Cleantech”. He writes for various cleantech publications and is known as the David Letterman of Cleantech for his “Top 10″ series. He can be reached at shawn@watershedcapital.com

jeudi 4 août 2011

Management : l'astuce de Facebook pour éviter la lassitude

Mark Zuckerberg / F8
Facebook a décidé de laisser ses employés changer de poste pendant un mois. Objectif : leur éviter lassitude, épuisement professionnel... Et départ de l'entreprise, comme plusieurs employés clés l'ont décidé récemment ?

Les entreprises hi-tech sont parfois à la base d'innovations dans la gestion du personnel. Pour ne citer que lui, Google est connu pour ses 20% de temps laissé aux employés pour développer leurs projets personnels. Conditions de travail particulièrement agréables, environnement ludique et créatif, défis techniques sous forme de hackathon (Facebook s'illustre par plusieurs technologies développées au cours de l'une de ces nuits dédiées à un projet personnel)... Facebook vient d'annoncer une nouvelle politique : le réseau social va étendre ces hackathons sur un mois, dans un programme baptisé Hackamonth.

Au cours de ce mois renouvelable chaque année, les employés vont simplement pouvoir changer de poste. N'importe quel ingénieur va pouvoir laisser de côté son travail habituel pendant cette période limitée, et partir dans une autre équipe. Selon la page Facebook dédiée, à la fin du mois, libre à lui de rester dans la nouvelle équipe ou de reprendre son ancien poste. A noter que si le programme est rendu public depuis moins d'une semaine, Facebook précise que cela fait un an que trois pilotes ont été lancés, avec 35 ingénieurs.

Le réseau social explique qu'ils étaient volontaires ou choisis au hasard, avec la possibilité de refuser. Mais selon lui, l'idée a plu puisque la plupart ont choisi de participer. On apprend aussi du billet de Facebook que la plupart des projets ont été repris dans son site, notamment pour la mise à jour de l'application iPhone, ou pour l'amélioration des performances du site web principal. D'un point de vue management, Facebook se vante aussi d'une opération réussie : au moins un ingénieur de chaque équipe du Hackamonth aurait décidé de rester dans sa nouvelle équipe, et les autres seraient « revenus ré-énergisés, avec de nouvelles idées, » dans leur équipe de base.

Facebook souhaite ainsi « conserver sa culture d'ingénierie vibrante et dynamique. » Au-delà de la bonne idée que représente ce projet, on peut se demander si le réseau social n'essaie pas d'anticiper sa transformation en entreprise géante, qui perdrait son esprit startup et une partie de son attractivité pour les ingénieurs dans le même temps. Plusieurs employés importants du site web l'ont récemment et bruyamment quitté ces derniers temps, signe que les stocks-options et la perspective de richesse qui ne devrait pas manquer de découler d'une future introduction en bourse ne suffisent pas à faire une bonne politique de management.

Source: Clubic

NUads : Kinect donne de nouvelles possibilités à la publicité

 Microsoft a profité de l'International Advertising Festival qui se déroule actuellement à Cannes pour présenter NUads, un nouveau système de publicité associé à Kinect qui ouvre de nouvelles perspectives d'interactions avec l'utilisateur.

On savait déjà que le système de détection de mouvements Kinect avait ouvert de nouvelles perspectives en matière de jeux vidéo et d'applications informatiques ou techniques dans un sens plus large – une dimension qui risque de s'étendre encore avec l'arrivée du SDK officiel pour Windows 7 – mais avec NUads, c'est le secteur de la publicité qui est à l'honneur.

Comme on peut l'imaginer, ce nouveau système développé par Microsoft a pour objectif d'exploiter les possibilités de Kinect, aussi bien en matière de détection de mouvements que de pilotage à la voix. La démonstration réalisée par l'un des responsables de la publicité chez Microsoft porte principalement sur le vocal, mais laisse apparaître une pléthore de possibilités : il est possible de parler au dispositif pour lui demander de tweeter la publicité, de localiser les magasins proches du domicile de l'utilisateur, de recevoir des informations supplémentaires par email… Le tout met à contribution les outils de la firme de Redmond, comme Hotmail ou Bing Maps, mais peut également renvoyer aux services de l'annonceur.

Mark Kroese, responsable du secteur publicité chez Microsoft, insiste sur le fait que les possibilités pour les annonceurs sont « presque illimitées », le système Kinect pouvant s'adapter selon les besoins et les requêtes. L'appareil en lui-même est en pleine possession de ses fonctions lorsqu'il est connecté à la XBox 360, que Microsoft voit plus comme une plateforme multimédia qu'une simple console de jeu, mais devrait s'avérer entièrement compatible avec la prochaine version de Windows.

La publicité ne sera donc nullement épargnée aux utilisateurs du support, bien au contraire, elle devrait se développer de façon appuyée avec l'arrivée de NUads. Et pas certain qu'une commande vocale existe pour la zapper !

Source: Clubic

mercredi 3 août 2011

eBay’s Instant Sale iOS App Allows You To Exchange Gadgets For Cash On The Go

ebay

In October, eBay rolled out its Instant Sale program, which allows you to sell old gadgets to the e-commerce giant. You simply identify the type of device you are looking to sell and its condition, and eBay will offer you a price for your gadget. After eBay receives the package, you’ll receive a payment deposited into your PayPal account. Today, eBay is launching a iOS app for Instant Sale, which allows you to exchange gadgets for cash on the go.

Similar to the Instant Sale web platform, the iPhone app serves as a tool for consumers to sell or recycle old electronics. Within the app, you identify the type of device you wish to sell and describe its condition and you’ll be presented with an offer. If you accept the offered price, eBay will supply you with a free prepaid shipping label for the gadget to be mailed. Your PayPal account will be funded accordingly.

Of course, the app does something nifty with iOS devices you are looking to sell (if you are using the device you want to sell). The app will identify the type of device you are using, and you simply clarify the storage capacity and describe its condition to receive an offer.

eBay says sellers sold more than $133 million in iPhones in 2010 alone (that’s more than 435,000 iPhones, nearly 350,000 of which were used or refurbished), so clearly this is a big market. Since the launch of Instant Sale, the top three items sold and their highest sale prices (based on “excellent” item condition) are the Apple iPhone 3G 8GB ($117), the Apple iPhone 3GS 16GB, ($179) and the Motorola Droid A855 ($45.18).

It’s no secret that eBay has been pushing a significant mobile strategy of late, and is building an army of mobile apps. eBay says its mobile apps generated nearly $2 billion in global gross merchandise volume 2010, triple that of 2009. And in 2011, eBay expects to double its mobile GMV again to $4 billion.

Source: Techcrunch

Microsoft veut transformer les serveurs en chauffage

Les ingénieurs de Microsoft Research ont récemment publié un nouveau document décrivant l'usage des centres de données en tant que chauffages domestiques.

Concocté en association avec le département des sciences informatiques de l'université de Virginie, ce nouveau concept, baptisé Data Furnaces, présenterait trois avantages se traduisant par une optimisation du bilan carbone, la réduction des coûts du serveur et un service de proximité pour l'utilisateur.

En affirmant que la multiplication des services hébergés s'est traduite par une forte croissance de la consommation d'électricité par les fermes de serveurs, Microsoft explique ainsi que la production d'énergie a largement augmenté ces dernières années. Les chercheurs estiment alors qu'il est possible de tirer parti de ce problème de chaleur en plaçant les machines directement au sein des bâtiments. Cette technique permettrait de se rapprocher de l'utilisateur tout en recyclant l'électricité consommée par les serveurs.

Dans des termes relativement simples, les chercheurs expliquent que « physiquement, le serveur informatique se présente sous la forme d'un boitier métallique convertissant l'électricité en chaleur ». Celle-ci peut atteindre 40 à 50°C. S'il n'est pas possible d'utiliser cette chaleur pour produire à nouveau de l'électricité, elle serait cependant parfaite pour réchauffer les pièces d'un appartement, les ballons d'eau chaude ou encore les sèches-linge. En exploitant seulement la moitié de cette chaleur, l'industrie IT pourrait donc doubler de taille sans pour autant avoir un bilan carbone plus important qu'aujourd'hui.

Le déplacement des serveurs au sein des bâtiments ne nécessiterait aucune gestion supplémentaire pour les administrateurs. Il est même suggéré que « les fournisseurs de services hébergés pourraient encourager les familles en leur proposant le chauffage gratuitement contre quelques manipulations occasionnelles pour le remplacement des filtres d'air ou dans des cas extrêmes le redémarrage des serveurs ». Aussi, les sociétés accueillant ces machines pourraient en tirer parti et mettre en place un serveur de données en local.

Au travers de cette étude il semblerait que le fournisseur de services puisse économiser entre 280 et 325 dollars par an et par serveur, une somme qui pourrait également se compléter d'un autre revenu régulier si la société souhaite louer cette énergie auprès des consommateurs. Les anglophones retrouveront davantage d'informations sur ce document (PDF).

Source: Clubic

Netswipe, pour payer en ligne avec sa webcam

Pour lutter contre la fraude et simplifier les paiements en ligne, la société américaine Jumio a créé Netswipe. Dévoilé aujourd'hui, ce système permet d'effectuer un achat en ligne en présentant sa carte de crédit devant une webcam.

netswipe paiement ligne webcam
Gagner du temps tout en luttant contre la fraude, c'est ce que propose la société californienne Jumio avec son système de paiement en ligne baptisé Netswipe et dévoilé mardi. Le principe est effectivement très simple : au moment de payer en ligne, l'internaute positionne sa carte de crédit devant une webcam. Celle-ci la scanne, et l'acheteur n'a alors plus qu'à rentrer son code personnel.

Un gain de temps évident pour l'acheteur, qui n'a plus à rentrer toutes les données relatives à son compte : nom, numéro de carte de crédit, date d'expiration, etc. Jumio vante aussi les intérêts de son système pour les vendeurs : qui dit gain de temps dit moins de découragement de la part de l'acheteur au moment du paiement. De plus, le système serait moins coûteux en terme de commission sur la transaction et de prévention de la fraude.

C'est d'ailleurs l'autre avantage du système souligné par Jumio : avec le scan de la carte, c'est l'objet physique qu'il faut posséder pour payer. La webcam est censée identifier avec certitude la carte en reconnaissant sa matière, le relief de ses chiffres et même son hologramme. Impossible donc, a priori, de frauder en subtilisant un numéro de carte de crédit. En tout cas, c'est ce que Jumio affirme, la résistance du système à la fraude attendant encore d'être mise à l'épreuve d'une utilisation grand public.

Netswipe n'est pas la première innovation en matière de paiement en ligne. Square, par exemple, a récemment affiché son succès en quadruplant sa valorisation, à 1 milliard de dollars. Mais le PDG de Jumio relativise le succès de sa concurrence : « Netswipe, c'est comme Square, mais sans hardware. »

Source: Clubic

Orange et Google s'associent pour démocratiser les services mobiles en Afrique

Orange et Google ont signé un partenariat pour développer en Afrique les services disponibles sur l'internet mobile.


Logo Orange
Le partenariat, dévoilé aujourd'hui dans un communiqué commun, affiche un double objectif. D'une part « faciliter le lancement des services innovants proposés par Google partout en Afrique en utilisant l'infrastructure SMS d'Orange ». Et d'autre part, offrir « aux clients d'Orange la possibilité d'utiliser les services de Google pour rester en contact via SMS ». L'idée est d'utiliser la technologie SMS (et donc le réseau GSM) pour démocratiser les services réservés jusqu'à présent aux seuls utilisateurs de smartphones et de l'internet haut débit.

Concrètement, cela devrait permettre aux clients mobiles en Afrique de bénéficier d'une large gammes de services tels que Gmail SMS Chat, un service de discussion instantanée, en utilisant simplement le réseau GSM.

En terme de fonctionnement, « Gmail SMS Chat alloue aux utilisateurs Gmail un capital de SMS gratuits qu'ils peuvent envoyer aux clients Orange de leur choix. Ce capital augmente de cinq SMS à chaque fois que le client Orange destinataire du SMS initial répond à son tour. L'utilisateur Gmail peut également ajouter un client Orange à ses contacts et lancer un chat avec lui, même si celui-ci ne possède pas de compte Gmail. Pour les clients d'Orange, ce service est gratuit et sans abonnement ; les messages envoyés lors d'un chat sont facturés au tarif normal d'un SMS », comme l'explique le communiqué.

D'ores et déjà disponible au Sénégal avec 700 000 utilisateurs, en Ouganda et au Kenya, le service sera déployé dans les prochains mois au Cameroun, à la Côte d'Ivoire, à la Guinée Conakry et au Niger. Et il sera parallèlement testé en Égypte. Par ailleurs Orange précise que ce lancement ne constitue qu'une première étape, puisque les deux partenaires souhaitent à terme rendre accessibles d'autres services offerts par Google.

Source: Techcrunch

Flurry: Mobile Dating Apps Capture More Flirting Time Than Online Sites




Mobile app analytics firm Flurry has released a report today that examines the use of mobile dating apps vs. online dating sites. Flurry used data from Compete, comScore and Alexa to measure internet consumption of dating sites and used its own analytics data (which now tracks over 90,000 mobile applications) for mobile tracking. With respect to dating, Flurry tracks a large set of dating apps with more than 2 million total users.

Flurry reports that mobile dating apps command more time compared to online dating sites. On average, 8.4 minutes are spent in mobile dating apps vs. 8.3 minutes online. And a year ago, people spent twice as much time on the Internet for dating as they now do in mobile apps. Mobile dating app usage has grown from 3.7 minutes in June 2010 to 8.4 minutes in June 2011. This is further evidence that supports Flurry’s recent report on mobile app usage dominating web browsing.

In terms of engagement, Flurry says that the frequency of consumers checking mobile dating apps contributes to the growth in time spent per day in mobile dating apps. Last year, the average user opened a dating app 2 times per day, a little under 2 minutes each time. Now consumers open a dating app over 5 times a day, but for shorter periods of time, about 1.5 minutes per session.

In terms of unique users visiting sites v.s mobile apps, Flurry finds more people are using dating apps on smartphones than visiting online dating sites are on the web, proportionally. Flurry measured this by looking at the proportion of unique users of dating services versus the total, per platform. For the Internet, Flurry compared unique visitors of online dating sites versus the total number of people using the Internet, which totaled 12% in June 2010 and 13% in June 2011. For mobile apps, Flurry compared unique users of mobile dating apps versus all apps, which resulted15% in June 2010 and 17% in June 2011.

And the report shows that the number of people using dating apps is growing faster than the number using all apps. Overall, the number of unique users of all applications increased 125%, year-over-year, while the number of unique users using mobile dating apps increased by 150% over the same period.
For background, Flurry found the top dating apps and sites are Match.com, eHarmony, PlentyOfFish, Zoosk, Jazzed Online Dating, Skout, and Grindr.

Considering this data, it seems that there’s a huge market opportunity in mobile dating and incorporating local and location-based functionality. And it’s a trend that startups such as LikeALittle has caught onto.

 Source: Techcrunch