mercredi 31 mars 2010

Zavatars: 1er jeu télévisé accessible du web

ZAVATARS est le 1er jeu télévisé auquel tout internaute peut participer via Internet. Créez votre avatar, venez-vous entrainez puis connectez-vous quand l’émission démarre. Avec un peu de chance, en répondant bien aux questions du jeu, vous serez peut-être le gagnant de l’émission. A vous la gloire et le plaisir de dialoguer dans l’émission avec l’animateur, via votre avatar. C’est ça ZAVATARS, une nouvelle expérience crossmédia TV-Internet. A vous de jouer !

3D2+ et Enjoy Productions vous propose « ZAVATARS », le premier jeu télévisé ouvert à tout téléspectateur depuis chez lui, auquel vous pouvez participer via votre avatar. Ce jeu met en scène un animateur, bien réel, immergé dans un décor de studio virtuel en 3D devant des milliers d’avatars qu’il fait jouer dont le vôtre.

Une émission de télévision
Ce jeu télévisé se regarde sur la télévision autant qu’il se joue sur ordinateur via Internet. Tous les avatars assis dans le studio virtuel sont des téléspectateurs comme vous qui depuis chez eux répondent en même temps à la même question. Qui répondra le plus vite ?

Pour augmenter vos chances de gagner, venez-vous entrainer avant l’émission et collectez des Bonus que vous pourrez jouer pour doubler vos gains. Et si vous êtes dans les meilleurs à l’entrainement, vous aurez peut-être la chance d’être qualifié pour devenir ZavaStar, candidat sélectionné pour jouer et dialoguer dans l’émission avec l’animateur.

Un service communautaire sur Internet
ZAVATARS est un univers en 3D sur Internet dans lequel chaque utilisateur dispose d’un avatar, son Zavatar, qu’il peut personnaliser. Les ZAVATARS peuvent dialoguer entre eux et créer leur liste de Z’amis. Alors venez avec vos amis ! Vous pourrez tout au long de l’émission comparer vos scores. A votre avis, qui sera le meilleur !

Source: Zavatars.com

L'innovation se joue au niveau de la production comme de l'organisation

En Finlande, les sociétés innovantes ne se sont pas penchées uniquement sur leurs produits et leurs procédés. Mais aussi sur les changements à apporter au niveau marketing et organisationnel.

Publié le 30 Mars 2010
Innovation

Près d'une entreprise finlandaise sur deux de plus de dix personnes a entrepris des activités liées à l'innovation de produits ou de process sur la période 2006-2008, rapporte Statistics Finland dans une étude. Et ce n'est pas tout : le bureau des statistiques s'est également intéressé aux initiatives innovantes menées par les sociétés dans les secteurs du marketing et de l'organisation interne. Selon lui, c'est près d'un tiers d'entre elles qui affirment avoir étendu leurs innovations à ces domaines. Plus précisément, c’est une entreprise sur quatre qui a reconnu des innovations organisationnelles alors qu'un cinquième a déclaré avoir engagé des innovations marketing. L’introduction de tels changements étant légèrement plus commune au secteur tertiaire (35 %) qu’au secteur secondaire (32 %).

Innovation marketing et organisationnelle

Pour revenir aux activités d'innovation liées à la production, Statistics Finland souligne la domination des entreprises du secteur secondaire : plus de la moitié d'entre elles se sont lancées dans cette course à l'innovation, contre un peu plus de 40 % de celles du tertiaire. Résultat de cet engouement dans le secteur manufacturier, le lancement en nombre de nouveaux produits sur le marché : plus d'un tiers se distingue de cette manière. Et ce, plus particulièrement côté électronique, optique, informatique et chimique. Côté tertiaire, les activités d’innovation ont été associées au lancement de produits et de services liés aux télécommunications et aux technologies de l'information : offres de programmation, de développement, de conseil.

Le secteur secondaire plus innovant en terme de produits et de procédés

Concernant l’innovation de procédés, la tendance est la même. 40 % des industries liées à la fabrication ont déclaré avoir évolué versus un peu plus de 30 % pour le tertiaire. Toutefois, sur l’ensemble des entreprises innovantes, 45 % d’entres elles ont cumulé une évolution d’activité à celle d’un produit ou d’un procédé. A noter : en incluant les domaines du marketing et de l’organisation, c’est près de 55 % des entreprises qui ont mené une activité innovante sur la période donnée. L'étude a été menée sur 8500 entreprises spécialisées dans la fabrication ou le service.

Source: L'Atelier

Quand le mobile optimise l'utilisation de la voiture électrique

Nissan propose d'utiliser les téléphones pour rester en contact avec son véhicule électrique avant et pendant un trajet. L'appareil sert alors de télécommande pour - entre autres - gérer la climatisation ou la charge.

Voiture

Le succès de la voiture électrique n'est pas qu'une question de technologies. Mais également d'un ensemble de services permettant d'optimiser son fonctionnement. A cet égard, Nissan a décidé de connecter son nouveau modèle, la Nissan Leaf, au réseau cellulaire. Pourquoi ? Pour permettre le contrôle de plusieurs fonctions depuis son téléphone ou son ordinateur. Cela depuis une plate-forme de gestion reliée à un centre de données auquel le véhicule et le mobile sont connectés. Avec ce système, le téléphone agit comme une télécommande qui peut activer ou désactiver à distance l'une ou l'autre fonction, mais aussi les programmer. Avant un trajet, le conducteur pourra ainsi vérifier la charge du véhicule, mais aussi la climatisation.

Le téléphone agit comme une télécommande

L'activation de cette dernière en amont du départ permet - outre un gain en confort -, de réduire la consommation de la batterie au moment où elle est le plus utile, à savoir sur la route. L'avantage est que cela permet aussi de profiter des heures creuses pour lancer le chargement de sa voiture à moindre coût. Inversement, le système propose aussi un service de notification par email pour avertir le conducteur que la batterie est chargée à plein. La connexion de la voiture au réseau téléphonique permettra également le recours à plusieurs services pendant la conduite.

Mise à jour en temps réel des informations sur les stations de chargement

Comme l'affichage d'une carte délimitant la zone que le véhicule est en mesure d'atteindre en fonction de son niveau de batterie. La liste des stations de chargement, mise à jour en temps réel, sera également à la disposition des conducteurs. Le numéro de téléphone de la station, le nombre de bornes disponibles et la distance par rapport à la position actuelle du véhicule seront affichés. La voiture et les appareils concernés seront en fait reliés via un centre de données accessible par Internet 24 heures sur 24. La Nissan Leaf sera disponible sur le marché français courant 2010.

Source: L'Atelier

Hubtech 21 : Pousser les PME à l’international

Pour « soutenir l’action de développement aux Etats-Unis des entreprises franciliennes », l’Agence régionale de Développement Paris-Ile-de-France vient de prendre une participation de 35 % au capital d’Hubtech 21, société de services spécialisée dans le développement commercial transatlantique de sociétés technologiques.

L’Agence régionale de Développement Paris-Ile-de-France (ARD), a, en décembre dernier, pris une participation à hauteur de 35 % au capital d’Hubtech 21. Créée en 2003 à Boston par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Essonne (CCIE) et l’Agence pour l’économie de l’Essonne (AEE), Hubtech 21 est une société de services spécialisée dans le développement commercial transatlantique de sociétés technologiques.

Les postes avancés des compétences franciliennes


Pour l’ARD, qui dispose déjà d’une antenne américaine avec son bureau PRIME (Paris Région International Mission Entreprise) créé en 2006, l’ambition est d’amplifier les services proposés aux entreprises franciliennes innovantes, tout particulièrement dans les domaines des TIC/logiciels, de l’optique/photonique, des sciences du vivant et des éco-industries. «
Les entreprises qui s’implantent à l’étranger sont en quelque sorte les postes avancés des compétences franciliennes » souligne Denis Tersen, DG de l’ARD.
Initialement destiné à être le « portail d’accès aux investisseurs américains en Ile-de-France », le bureau PRIME devrait désormais évoluer vers le montage de partenariats technologiques transatlantiques. Implanté à San Francisco, sur un « riche tissu économique local en matière de TIC et de cleantech », le bureau PRIME de l’ARD devrait également accueillir des membres d’Hubtech, pour l’instant, uniquement basé à Boston.

Une adresse américaine


Pour Philippe Berna, PDG de Kayentis, qui est entré en contact avec Hubtech par le biais du pôle System@tic, «
la force de la petite équipe d’Hubtech 21 est sa très forte intégration et sa bonne connaissance de l’écosystème américain. Outre une étude de marché et une approche méthodologique locale, les services d’Hubtech nous aidé dans le recrutement et pour les aspects juridiques et fiscaux. » Aujourd’hui, la société implantée sur le territoire américain du secteur pharmaceutique à Philadelphie cumule 4 millions de dollars de commandes et reçoit des sollicitations de sociétés biotechs américaines.
De l’étude de marché à la recherche de partenaires, du développement des ventes à la création d’une filiale, Hubtech 21 assure toute une gamme de services aux entreprises franciliennes désirant s’implanter aux Etats-Unis. Depuis sa création, la société a accompagné 25 sociétés. « Après une première expérience de développement aux Etats-Unis, nous nous sommes rapprochés d’Hubtech en 2005. Grâce à cette collaboration, nous avons obtenu une adresse américaine et cela change tout dans la relation avec les partenaires locaux » explique Samuel Bucourt, PDG d’Imagine Optic.

Source: Le Journal de l'Innovation

Cle USB pour diabétiques


Cle USB diabeteComment suivre sa glycémie avec une clé USB ?

L’indicateur CONTOUR USB de Bayer vient tout juste d’être approuvé par Santé Canada.

Ce gadget de geek est en fait destiné aux patients qui souffrent du diabète et qui veulent mesurer leur taux de glucose dans le sang (glycémie).

Le Contour possède une aiguille à son extrémité qui permet de piquer le bout du doigt et un port USB à l’autre bout qui se branche directement sur l’ordinateur et permet de suivre à l’écran l’évolution de leur taux de glucose grâce à un logiciel intégré.

L’appareil peut stocker jusqu’à 2000 résultats.

Très gadget et très « in ». Superbe.

Plus d’infos sur www.bayercontourusb.ca

Source: Vincent Abry

"Le marché de la BD numérique est encore inexistant"

Avec Izneo.com, le secteur de l'édition de BD se fédère pour réussir son passage au numérique. En anticipant les usages, les éditeurs comptent éviter de subir le même sort que l'industrie musicale.

JDN. Présentez-nous Izneo
Amélie Rétorré (Directrice du Développement d'Izneo.com).
Izneo est un portail proposant la location de bandes dessinées au format numérique. Les amateurs peuvent accéder à un catalogue de 600 BD numérisées en PDF et les louer à partir de 1,99 euros pour 10 jours. Nous travaillons par ailleurs sur une offre d'abonnement aux alentours de 10 euros par mois qui donnerait accès à une partie de nos catalogues. Les 12 éditeurs à l'origine du projet représentent 50 % du marché de la BD en 2009. Tous mettent leur catalogue à disposition. De nouveaux titres seront mis à disposition tous les mois.

Qui est derrière le projet ?
Izneo est un projet de plusieurs centaines de milliers d'euros porté par trois groupes d'édition qui sont aussi actionnaires du projet. Il s'agit de Média Participations, qui regroupe Dargaud, Lombard et Dupuis notamment, de Flammarion, qui détient Casterman et Fluide Glacial, ainsi que de Bamboo. Média Participations, qui est à l'origine du projet, est majoritaire. Mais le capital d'Izneo a vocation de s'ouvrir à de nouveaux éditeurs qui voudraient nous rejoindre. D'ailleurs nous sommes en discussion avec plusieurs d'entre eux.

Pourquoi louez-vous des BD numérisées et ne les vendez-vous pas ?
Les auteurs, comme les éditeurs, n'étaient pas favorables à proposer des fichiers en téléchargement. De leur côté, les auteurs étaient sceptiques sur les DRM. Soit elles sont fortes et dans ce cas elles sont trop contraignantes pour l'acheteur, soit elles sont faibles et peuvent donc être cassées facilement. En outre, les éditeurs tiennent à l'idée que conserver une BD passe par l'achat de l'objet papier. Ce qui est normal puisque c'est leur métier premier.

Comment est né ce projet ?
Izneo était en préparation depuis plus de deux ans. A l'époque, les éditeurs de bandes dessinées commençaient à être sollicités par des sociétés qui leur proposaient de numériser leurs contenus pour les vendre sur le Web. A cette époque, tous les éditeurs ont commencé à réfléchir aux débouchés sur Internet. En particulier Media Participations qui a coordonnée cette réflexion au sein de ses filiales. C'est ensuite que Flammarion et Bamboo ont rejoint le projet.

Le marché de la bande dessinée en ligne existe-t-il ? Qu'en espérez-vous ?
Non, il est encore inexistant et nous n'avons pas d'objectifs très précis. L'important pour nous est de valoriser nos contenus en tenant compte de l'expérience des industries de la musique et du cinéma. Il est important de montrer que les bandes dessinées sur Internet ne sont pas gratuites.

Le secteur de la bande dessinée est-il aussi touché par le piratage ?
Pas vraiment, même si une bonne partie de nos catalogues est déjà présente sur les réseaux pirates. Mais on ne peut pas vraiment dire que nous sommes très touchés. Par contre, nous devions réagir avant de l'être. C'est pourquoi nous proposons une plate-forme de référence, au catalogue le plus complet possible, en fédérant un maximum d'éditeurs et en proposant des prix attractifs.

Le peu d'intérêt des internautes pour les BD numérisées, même piratées et gratuites, ne démontre-t-il pas leur peu d'intérêt pour ce format ?
Il y aura un marché quand les lecteurs seront prêts à payer et quand les créateurs exploiteront toutes les possibilités que leur offre le numérique, tant au niveau de la scénarisation que du graphisme. Ce qui n'est effectivement pas le cas lorsque vous proposez des bandes dessinées au format PDF.

Izneo n'a pas d'application iPhone, est-ce en préparation ?
Oui, une version iPhone d'Izneo sera disponible très bientôt. Nous sommes également très intéressés par l'iPad qui est le seul e-book à gérer les couleurs, ce qui est indispensable dans notre domaine.

Source: JDNet

mardi 30 mars 2010

Beautifulstranger.tv fait de la vidéo un nouvel espace d'achat

La web TV dédiée à la mode propose aux internautes de se rendre en direct sur les sites qui vendent les vêtements et accessoires portés par les personnes interviewées. Un système de tags facilite ce référencement.

Shopping

Beautifulstranger.tv - une web TV dédiée à la mode - facilite l'achat direct : en partenariat avec Media/And, elle a mis en place un système qui propose de se procurer les vêtements portés par les personnes filmées, tout en restant sur le site. Ce, via un système de tags. Techniquement, ce dernier reconnaît automatiquement le type de vêtement porté par la personne interviewée (pantalon, jupe, veste…), ainsi que sa couleur. Charge ensuite à l'équipe du site d'attribuer à chacun d'entre eux la marque correspondante afin de permettre au dispositif de faire le lien avec le bon site. Un système hybride qui n'autorise pas encore le référencement de vidéos diffusées en direct. "Lorsque l'internaute lance une vidéo, une barre apparaît sur la marge, et indique au fur et à mesure les marques et les produits" explique à L'Atelier Abby Wallach, co-fondatrice du site. "Il est alors possible de cliquer sur l'icône du produit pour l'acheter", poursuit-elle. "Cette technologie est en train de mûrir", confirme à L'Atelier Sébastien Lelieur, directeur de projet pour l'agence de marketing web Clark.

Une technique adaptée aux sites thématiques

"Les vidéos en ligne ne se limitent plus à leur fonction de communication, mais passent au niveau de la transformation", explique-t-il. Par "transformation", le consultant entend la capacité à générer du contenu supplémentaire - fiches produit, informations diverses… - pour amener l'internaute-spectateur à s'impliquer davantage. D'ailleurs, si l'on en croit Abby Wallach, près de 40 % des personnes qui ont regardé une vidéo sur la plate-forme ont cliqué au moins une fois sur la barre pour voir s'afficher les icônes des produits. Et un peu plus de 5 % sont passées à l'acte d'achat. "Pour les marques qui ont besoin d'être vues - dans les secteurs de la mode, de la décoration, des voyages, de l'hôtellerie…- les annonceurs ont un réel intérêt à mettre en place ce type de technologie", commente Sébastien Lelieur.

Des services allant au-delà de la publicité

"Il s'agit aussi d'un bon moyen pour faire passer de la publicité de manière non intrusive", explique le consultant. Et d'ajouter : "cela va même au-delà de la publicité. C'est aussi un service complémentaire qui vient enrichir la vidéo". Pour la co-fondatrice de beautifulstranger.tv, le développement de ces technologies s'inscrit dans une évolution logique. "Dans un futur proche, ces méthodes de tag ont toutes les chances d'être utilisées pour la télévision 2.0, connectée à Internet" indique-t-elle. Ce que confirme le consultant de Clark, selon lequel la vidéo va être amenée à impliquer de plus en plus le spectateur. Le paradoxe actuel étant qu'à l'heure du web 2.0, la vidéo se développe largement sur le Net, "alors qu'il s'agit pour le moment de l'un des médias les moins interactifs de la Toile" conclut-il.

Source: L'Atelier

lundi 29 mars 2010

Télé 7 jours fête ses 50 ans en réalité augmentée

Pour son cinquantième anniversaire, Télé 7 Jours demeurera en kiosque durant 15 jours à partir du 29 mars. Ce numéro spécial proposera sa Une en réalité augmentée : celle-ci s’animera en 3D sur l’écran d’un ordinateur par un simple passage devant sa Webcam. Les lecteurs pourront découvrir Johnny Hallyday fêter le dit anniversaire et proposer un extrait de sa dernière tournée. Développé par la société Total Immersion, Télé 7 Jours est en France le premier magazine à utiliser la technologie de réalité augmentée associée à un dispositif promotionnel.

Source: 100% Media

Des bulletins de consommation énergétique nationale sur son smartphone

GridCarbon informe les britanniques en continu des émissions de carbone générées dans le pays. Cela afin de leur permettre d'ajuster leur utilisation en conséquence.

Clavier

Aider les utilisateurs à mieux gérer leur consommation en énergie ne passe pas uniquement par l'échelle individuelle : l'université de Southampton a mis au point en début d'année l'application iPhone GridCarbon. Celle-ci est reliée à la base de données de National Grid, fournisseur d'électricité et de gaz. Elle informe les utilisateurs de smartphone du niveau d'émissions en carbone générées par la consommation nationale d'énergie. C'est-à-dire la quantité de CO2 libérée dans l'atmosphère lorsque une unité (1 kWh) d'électricité est utilisée par un consommateur. Le but : avertir les individus des pics de pollution pour les inciter à consommer différemment. "L'application ne permet pas de diminuer directement la consommation d'énergie d'une personne, mais de l'encourager à réduire par elle-même son émission de carbone", précise Alex Rogers, l'un des responsables du projet, à L'Atelier.

Mieux informés, les individus peuvent réduire leurs émissions de carbone

Mise à jour toutes les cinq minutes, GridCarbon détaille la consommation nationale par nature d'énergie utilisée : éolienne, gaz, charbon, etc. Grâce à une courbe retraçant les périodes de basses et hautes intensités d'émissions de CO2, les utilisateurs peuvent ainsi ajuster l'utilisation de leurs appareils pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Et par là même le recours de matériaux polluants par les compagnies d'électricité. En période de forte consommation, ces dernières utilisent ainsi le charbon en plus d'autres matières premières (gaz, éolienne....) pour répondre à la demande importante en énergie. Le problème étant que ce combustible est néfaste pour l'environnement. "En utilisant cette application, les entreprises comme les individus peuvent voir à quel moment l'intensité de carbone est basse".

Un réseau de distribution électrique intelligent

"Et, de ce fait, utiliser l'énergie durant cette période" indique le chercheur. Selon le chercheur, recharger ses appareils portables ou utiliser son électroménager durant la nuit plutôt qu'en soirée aux périodes de pointe permet ainsi de réduire ses émissions de carbone de 40 %. A noter : le téléchargement de l'application a été encouragé le 27 mars, pendant la Earth Hour, organisée par le WWF. Celle-ci propose d'éteindre les appareils qui consomment de l'énergie pendant une heure. GridCarbon fait partie du projet Ideas mené par l'université. Celui-ci vise à mettre en place un réseau de distribution où les appareils électriques informeront leurs utilisateurs via le compteur de leur consommation.

Source: L'Atelier

Créer une application iPhone : combien ça coûte ? - Journal du Net e-Business

Créer une application iPhone : combien ça coûte ? - Journal du Net e-Business

Le code barre 2D s'invite à la télévision

La société QRCom, spécialisée dans le code barre 2D va tester sa technologie sur le petit écran dans l'émission de France 2 "Télématin". Un code barre sera en effet affiché durant la chronique de la "Météo de l'emploi". Une fois scanné sur un mobile équipé d'un lecteur spécifique, ce code barre renverra vers un site dédié où le téléspectateur aura notamment accès à des informations complémentaires, dont des offres d'emploi. Le test débutera ce jeudi 25 mars.

Source: JDNet

dimanche 28 mars 2010

Android : Google partagerait ses recettes publicitaires avec les opérateurs

Si Google est récemment rentré sur le marché de la téléphonie mobile, les smartphones Android fleurissent ici et là chez la plupart des opérateurs. Et pour cause, ces derniers viennent de trouver une véritable poule aux oeufs d'or.

En effet, lorsqu'il choisit d'installer le système Android sur un plusieurs de ses terminaux, l'opérateur « investit » à long terme. A en croire le magazine Moconews.net, le géant de Mountain View lui redistribuerait une part des revenus publicitaires générés par les smartphones commercialisés. Ce partage de revenus serait opéré lorsque les applications de Google (non requises) seraient installées par défaut, à savoir Gmail, Google Maps ou encore le moteur de recherche.

La plupart de la publicité générée sur les terminaux mobiles provient des requêtes effectuées via le moteur, un domaine sur lequel Google s'est déjà bien armé en rachetant la société AdMob en novembre dernier. Google redistribuerait également une part de ces revenus avec les fabricants de téléphone tels que HTC ou Acer. A l'heure actuelle, il se vendrait chaque jour 60 000 smartphones sous Android. Sur ce même rythme de croissance, l'on pourrait atteindre 22 millions de smartphones Android commercialisés sur l'année 2010.

L'on imagine que Google devrait suivre un modèle similaire pour son prochain système d'exploitation Chrome OS. Pour ce dernier la firme annonce avoir signé des accords de distribution avec différents fabricants parmi lesquels nous retrouvons Acer, Adobe, ASUS, Freescale, Hewlett-Packard, Lenovo, Qualcomm, Texas Instruments ou encore Toshiba.

Source: NetEco

Mobile : la "data" dépasse le trafic de la voix

Pour la première fois, le volume des échanges de données effectués à partir des réseaux mobiles aurait dépassé le trafic que représente l'activité voix sur le mois de décembre 2009, a affirmé cette semaine Ericsson. Sur la période, l'équipementier suédois estime que plus de 140.000 téraoctets de données - texte, pages Web, courriers électroniques, photos, vidéos, etc. - ont été transportés par les opérateurs du monde entier. L'un des principaux facteurs de l'explosion du trafic données serait l'essor des réseaux sociaux, Facebook en tête.

Le fait que 400 millions d'abonnements à Internet mobile suscitent maintenant plus de trafic données que le trafic voix réalisé par le total des 4,6 milliards d'abonnements mobiles dans le monde est une étape significative, a affirmé Hans Vestberg, PDG d'Ericsson.

Sur les deux dernières années, l'équipementier estime que le volume de données mobiles échangé a triplé tous les ans. Il devrait continuer à doubler tous les douze mois sur les cinq prochaines années, du fait de la démocratisation des forfaits, pour mobile ou pour ordinateur, permettant de se connecter en situation de mobilité.

Une tendance qui ne va pas sans inquiéter les opérateurs. Ceux-ci doivent en effet faire face à des besoins toujours croissants en bande passante, laissant craindre des congestions de plus en plus fréquentes de leurs réseaux, ce qui devrait les motiver à accélérer le passage à la 4G / LTE.

Source: NetEco

vendredi 26 mars 2010

Créer une application iPhone : combien ça coûte ?

Faire développer une application pour le smartphone d'Apple nécessite un budget parfois conséquent, pouvant aller de 5 000 euros, pour une appli de base, à plusieurs centaines de milliers. De sa conception à sa promotion, le JDN a essayé d'estimer le coût d'une application iPhone.
==> Cliquez sur le titre

Les jeux sérieux ne correspondent pas tous aux mêmes besoins

Casual games, univers persistants ou modules de simulation : chaque jeu s'applique à une problématique bien précise - la formation, la sensibilisation ou le recrutement - de l'entreprise. Ici, l'Agence Spatiale Européenne.

Tous les jeux en ligne dédiés à la formation ou à la sensibilisation ne servent pas les mêmes buts, rappelle MindArk. L'entreprise suédoise spécialisée dans les business games a réalisé une étude pour l'Agence Spatiale Européenne (ASE) pour identifier le type de modules à développer en fonction des desseins de l'institution : promotion de son activité, formation des ingénieurs, recrutement, ou création d'une dynamique collective. Résultat : les casual games sont considérés comme l'option à retenir pour mettre en avant les activités de l'agence. "Ils sont considérés comme de bons leviers qui permettent d'accroître la présence en ligne"indique MindArk. Tout en précisant : "mais les environnements immersifs se prêtent également bien au recrutement et à la promotion, en amenant les joueurs à expérimenter la vie d'un astronaute".


Encourager l'ingénierie spatiale

Autre enseignement de l'étude : les jeux de simulation en ligne - qui constituent encore une autre catégorie - sont utiles pour encourager l'ingénierie spatiale, et susciter des vocations. Ils développent la créativité des joueurs, qui s'essayent à un nouveau métier en devenant pour l'occasion des ingénieurs virtuels. Par ailleurs, dans leurs versions multijoueurs, ces jeux en ligne favorisent la coopération. Pour la construction d'un robot, par exemple. "Du point de vue de la communication, ce type de coopération permet aux joueurs de comprendre les enjeux du travail dans les organisations internationales multiculturelles", expliquent les chercheurs. En termes d'infrastructures, ces derniers recommandent de créer une plate-forme dédiée, pour fournir un accès plus large à toute une gamme de jeux, proposant des scénarios et une vraie expérience immersive.


Une plate-forme dédiée proposant plusieurs expériences immersives

Plate-forme qui privilégie l'accès depuis un ordinateur - ou même une console connectée à Internet - plutôt que celui depuis des téléphones mobiles ou des PDA. "Développer une plate-forme de jeux en ligne à destination des téléphones mobiles est plus complexe en raison de la multitude d'appareils sur le marché", notent les auteurs de l'étude. Par ailleurs, un jeu en ligne est un investissement sur le long terme, à la fois pour le joueur et pour l'opérateur. Pour cette raison, un opérateur de jeux en ligne doit être prêt à investir continuellement dans le développement, le support et la création de contenus. MindArk encourage ainsi les entreprises à privilégier les partenariats public-privé.

SOURCE ; L'Atelier

L'orientation des femmes passe aussi par les jeux de simulation

The Forte Foundation lance un campus virtuel qui propose à de jeunes étudiantes de simuler différents parcours professionnels pour mieux gérer leurs parcours scolaires et leurs carrières.

Le jeu facilite le choix de son orientation professionnelle, pendant ses études puis tout au long de sa carrière. Convaincu de cela The Forte Foundation lance The Forte Career Gal Road Trip, un outil de simulation qui permet aux internautes de simuler ce que serait leur parcours en fonction de différentes options choisies. Et la particularité du système, c'est qu'il s'intéresse uniquement aux femmes. Pourquoi ? Parce que selon les résultats d'une étude menée par le site de conseils d'orientation, une large majorité des femmes interrogées annoncent qu'elles auraient aimé poursuivre une carrière professionnelle différente de la leur si elles avaient été conscientes des options à suivre durant leurs études. Résultat de ce manque d'orientation, le nombre d'étudiantes dans les business schools est encore réduit.


Anticiper ses choix de carrière

La gente féminine ne représentait à la rentrée 2009-2010 qu'à peine un tiers des nouvelles recrues de la quarantaine d'écoles faisant partie de The Forte Foundation. "Il y a un réel problème de visibilité quant aux choix d’orientations des jeunes femmes", confirme à L'Atelier.fr Corinne Zerbib, directrice de Jobetic. Et de poursuivre : "Tout ce qui peut être fait pour favoriser l’ouverture est intéressant tant qu’on ne tombe pas dans les stéréotypes". Le jeu de simulation, qui se présente sous la forme d'un campus virtuel, propose aux étudiantes et jeunes diplômées de sélectionner un domaine dans lequel elles souhaiteraient travailler : commerce, communication, ingénierie… Selon le domaine élu, l’étudiante choisit un métier. Son choix la renvoie alors à la vidéo d’une femme à la carrière réussie qui lui explique son parcours à l’université.


Favoriser l’ouverture des parcours

Une fois diplômée virtuellement par le campus, la jeune femme rentre alors dans une vie professionnelle où elle doit opérer des choix déterminants pour sa carrière. Comme poursuivre un MBA, construire une famille, changer d’entreprise ou d’emploi. Selon le choix effectué, une vidéo renvoie l’étudiante une fois de plus à une expérience féminine. La personne sélectionnée explique alors dans la vidéo les décisions qu’elle a prises aux mêmes étapes. On y apprend ainsi par exemple que suivre une major en business peut être utile mais pas une condition déterminante pour une carrière à succès. A noter : The Forte Foundation est un consortium composé d'entreprises, d'écoles et d'associations dédié à l'orientation des femmes dans le monde professionnel.

SOURCE : L'Atelier

L'Initiative Desertec s'internationalise en accueillant quatre nouveaux membres

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62750.htm

L'Initiative Industrielle Desertec DII [1] se renforce à l'international. Après de longues négociations, l'initiative, jusqu'à présent caractérisée par une forte dominante d'entreprises allemandes, vient d'accueillir 4 sociétés originaires de nouveaux pays. L'adhésion des entreprises françaises Saint-Gobain-Solar, italienne Enel Green Power, marocaine Nareva Holding et espagnole RED Electrica, représente un pas important vers l'internationalisation, selon Paul van Son, directeur de la DII.

Desertec est actuellement le plus ambitieux projet d'infrastructures à l'échelle mondiale. Son objectif est la construction de grandes centrales solaires thermiques à concentration (CSP, [2]) en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, afin d'alimenter en électricité durable la région elle-même et l'Europe au moyen d'un réseau à courant continu à haute tension (CCHT). Le volume d'investissement a été estimé à 400 milliards d'euros. L'initiative DII a été fondée durant l'été 2009 à Munich par 12 entreprises [3], dont 9 allemandes : l'assureur Münchener Rück, les banques Deutsche Bank et HSH Nordbank, les énergéticiens E.ON et RWE, le groupe industriel Siemens, la société d'ingénierie et construction industrielle M+W Zander, les entreprises solaires Schott Solar et MAN Solar Millenium, ainsi que trois groupes d'autres nationalités : l'entreprise solaire espagnole Abengoa Solar, l'entreprise de techniques de transmission électrique suisse ABB AG et le groupe agro-alimentaire algérien Cevital.

L'accueil de nouvelles sociétés est un sujet délicat. Desertec devrait s'internationaliser radicalement dans les prochaines années, et les coordinateurs du projet visent un nombre d'entreprises partenaires compris entre 20 et 30, dont un nombre significatif en provenance de pays du pourtour méditerranéen. D'autres partenaires sans droit de vote devraient aussi être associés. Face à l'intérêt public considérable, les entreprises allemandes et étrangères sont nombreuses à attendre un feu vert de la DII. Mais la coordination des partenaires étant en soi complexe, il est nécessaire de pouvoir contrôler le cercle des associés.

Après les adhésions récentes, l'initiative Desertec compte actuellement 16 entreprises. Grâce à l'adhésion de Nareva Holding, filiale du groupe ONA (Omnium Nord Africain, premier groupe industriel et financier privé marocain) spécialisée dans la production d'énergie (notamment éolienne), l'implication des pays producteurs d'Afrique du nord sera renforcée. Enel Green Power, société nationale italienne d'électricité, peut apporter son expertise en centrales combinées solaires et au gaz avec réservoirs de sel fondu. L'entreprise espagnole RED Electrica est quant à elle spécialisée dans la transmission de l'électricité. L'adhésion de ces deux groupes devrait permettre d'améliorer l'équilibre européen du projet et servir comme pont vers l'Afrique du Nord. Saint-Gobain Solar, actif également dans le photovoltaïque, développe et propose différents composants clés destinés aux CSP, notamment des miroirs, des récepteurs et des éléments de stockage de chaleur. Par ailleurs, Desertec poursuit actuellement des négociations avancées avec une entreprise tunisienne.

Enfin, parmi les futurs partenaires associés au projet, l'entreprise américaine First Solar, premier fabricant mondial de cellules photovoltaïques (PV) en 2009, a annoncé le 16 mars 2010 sa participation au projet Desertec pour une période de 3 ans afin d'apporter son expérience des projets PV de grande ampleur. Une des caractéristiques de First Solar est sa technologie de panneaux solaires à couche mince qui permet un rendement énergétique supérieur même dans les conditions de chaleur du désert. Un contrat de collaboration devrait aussi être signé prochainement avec le groupe énergétique autrichien OMV.

ORIGINE : BE Allemagne numéro 476 (24/03/2010) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62750.htm

jeudi 25 mars 2010

L'iPhone est aussi (et surtout ?) une console de jeux

Les smartphones commencent à peser sur le marché des consoles de jeux, au point que les revenus tirés de la vente de jeux pour iPhone aurait permis à Apple de dépasser la PSP aux Etats-Unis.

Les revenus d'Apple issus de la vente de jeux sur iPhone et iPod Touch auraient permis au fabricant de dépasser la PSP aux Etats-Unis, affirme Flurry Analytics. Entre 2008 et 2009, ces revenus auraient en effet quintuplé, ce qui porterait la part de marché d'Apple sur les jeux pour consoles portables de 5 % en 2008 à 19 % douze mois plus tard. Sur la même période, la PSP de Sony serait tombée de 20 % à 11 %, la DS de Nintendo dominant toujours largement le secteur avec 70 % contre 75 % en 2008.

Sur le périmètre français, le cabinet GfK évoque pour sa part une progression de 26,5 % en 2009 des téléchargements de jeux sur téléphones, soit 32 millions de téléchargements de jeux l'an dernier pour un chiffre d'affaires total de 90,8 millions d'euros. Un chiffre à comparer aux 350 millions d'euros que représente le marché des consoles portables. Les jeux constituent en effet de loin le premier type de contenu téléchargé par les utilisateurs de smartphones, devant la musique (12,1 millions de téléchargements en France l'an dernier), les images et photos (11,3 millions), les vidéos (10 millions) et les sonneries (9,4 millions).

Avec un catalogue dépassant les 30 000 jeux, l'AppStore Apple fait désormais figure de véritable plate-forme de jeux vidéos. Ceux-ci représentent d'ailleurs 60 % des applications disponibles sur l'App Store. GfK prévoit que les téléchargements progresseront de 27 % en France cette année, totalisant 96 millions d'euros de revenus en 2010. Le développement de l'iPad et des tablettes tactiles, dont l'écran plus grand se prêtera encore davantage aux jeux que celui des smartphones, devraient même doper ces prévisions. Selon Flurry Analytics, 44 % des applications actuellement en développement pour l'iPad, qui sera lancé en avril, sont d'ailleurs des jeux.

Source:JDNet

Pour trouver un prestataire, le réseau est le meilleur gage de confiance

Le moteur de recherche de Solvate s'intéresse aux compétences d'une personne, mais aussi aux connexions sociales, directes ou indirectes, entre les salariés de la PME cliente et les professionnels en recherche d'un contrat.

Someone

Solvate propose un moteur de recherche permettant de trouver rapidement un prestataire en fonction non pas de son parcours mais de l'une de ses compétences. Et ce, pour réaliser une tâche bien précise. Et ce n'est pas tout : pour mettre la main sur la personne la plus appropriée, la start-up a décidé de miser sur le réseau de la PME cliente. Elle utilise les API de LinkedIn pour établir des connexions entre les professionnels. Cela, même si le lien est indirect, comme via un contact en commun. "Le but est de permettre aux entreprises de dénicher plus facilement les professionnels travaillant à leur propre compte", explique à L'Atelier Mike Tarullo, directeur marketing de Solvate. "LinkedIn est un système de stockage de données adéquat qui procure des informations sur les réseaux sociaux professionnels", explique-t-il.

Commencer par rechercher dans son réseau

Concrètement, une entreprise indique au système quel type de profil elle recherche et pour quelle tâche en particulier. "Celui-ci lui fournit les renseignements nécessaires, en effectuant une recherche qui prend en compte le domaine d'expertise, les compétences du prestataire, et le graphique relationnel de LinkedIn", ajoute Mike Tarullo. L'avantage d'un tel système est qu'une relation de confiance s'instaure dès lors que l'entreprise sait qu'elle recrute un prestataire de service avec lequel elle partage un ou plusieurs contacts. Selon le responsable, les petites et moyennes entreprises perdent souvent du temps à rechercher des prestataires de services, à négocier avec chacun d'entre eux, et à les recruter. "Les PME doivent commencer par rechercher les prestataires qui sont à leur portée, sur leur réseau", poursuit-il.

Plus les informations sont précises, plus les résultats sont pertinents

Pour permettre au système de trouver le profil qui correspond le plus aux recherches de l'entreprise, les prestataires doivent au préalable procurer des informations relatives à leur domaine d'expertise. Point important : plus les renseignements sont précis et les requêtes spécifiques, plus les résultats seront pertinents. "Pour optimiser ses chances, il est en effet important de valoriser les détails", explique le responsable. Et d'ajouter : "le prestataire ne doit pas simplement se présenter comme quelqu'un capable de développer un site Internet, par exemple, mais comme un spécialiste du CSS/HTML ou du PHP/MySQL". Il doit préciser s'il travaille plutôt avec de petites entreprises de e-commerce, ou s'il conçoit des microsites pour de grandes compagnies, etc. Le lancement de ce système a été annoncé par la société Solvate lors du DEMO 2010.

Source: L'Atelier

mercredi 24 mars 2010

« Isis » : Nouvelle étape pour la chirurgie mini-invasive

À la suite du succès du projet collaboratif de R&D « Anubis », le projet « Isis », co-labellisé par les pôles EuroBioMed et Alsace BioValley, vise le développement d’une solution innovante de chirurgie laparoscopique par incision unique au niveau de l’ombilic.
Développer une gamme d’outils « mécaniques et robotiques flexibles permettant d’introduire tous les instruments opératoires par la seule incision ombilicale » est le pari du projet « Isis ». Comme le projet ANUBIS, labellisé en 2005 par le pôle compétitivité Alsace BioValley, qui lui a ouvert la voie, « Isis » considère l’ombilic comme un « accès naturel potentiellement exploitable » pour la chirurgie mini-invasive.

Des résultats attendus pour fin 2012

L’idée est d’introduire les instruments nécessaires à une intervention chirurgicale, dont une caméra, par cet orifice naturel. En théorie, cette technique permet de réduire les risques liés aux suites opératoires et de dissimuler les cicatrices sous les plis du nombril. « Isis est la nouvelle étape qui allie la haute technicité et le caractère mini-invasif de la chirurgie, fruit d’un partenariat public-privé comme sait le faire l’IRCAD depuis sa création » souligne le Professeur Jacques Marescaux, Président de l’IRCAD.
Co-labellisé en 2009 par les pôles de compétitivité EuroBiomed, dédié à la santé, et Alsace BioValley, dédié aux innovations thérapeutiques, ce projet est piloté par l’IRCAD (Institut de Recherche Contre les Cancers de l’Appareil Digestif) à Strasbourg et associe les sociétés Karl Storz et Protomed ainsi que le Laboratoire des Sciences de l’Image, de l’Informatique et de la Télédétection de l’Université de Strasbourg. D’un montant global de 2,9 M€, il a reçu des financements du FUI, des régions Alsace et PACA, de la Communauté Urbaine de Strasbourg, du FEDER et de Marseille Provence Métropole. Les premiers résultats sont attendus pour la fin de 2012.

Source: Le journal de l'innovation

mardi 23 mars 2010

Actualité des bâtiments verts

La certification verte d'un bâtiment vaut-elle le (sur) coût ? Depuis cinq ans, les chantiers se multiplient sous la bannière HQE, la certification BBC, les labels Breeam ou LEED (voir ci-contre). Immeubles de rapport, bureaux, logements, écoles, équipements culturels : la vague de l'immobilier durable déferle sur l'Hexagone, avec 15.000 bâtiments en cours de labellisation BBC Effinergie. Le tout avec des coûts de construction majorés de 5 à 10 %.

Pourtant, les pionniers ne font pas systématiquement le même constat, comme le montrent plusieurs études publiées ces derniers mois. Des économistes du Conseil national de recherche canadien (CNRC) ont passé au crible les performances de 100 bâtiments américains construits selon les certifications LEED. Sans surprise, les chercheurs ont calculé que la plupart de ces ouvrages consomment en moyenne 18 à 39 % d'énergie en moins par mètre carré que leurs équivalents conventionnels. Mais entre un quart et un tiers d'entre eux consomment en fait davantage que leurs homologues non certifiés. Un comble pour les investisseurs qui engagent des surcoûts pour acquérir un bâtiment plus performant. L'étude affirme même que les performances du bâtiment sont décorrélées des notes LEED décrochées (silver, gold, platinium).

En France, l'exercice vient d'être mené par une équipe composée de la foncière immobilière Icade et du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB). Icade fait partie des maîtres d'ouvrage pionniers dans la HQE avec le bâtiment « 270 » à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), livré en 2005. Les auteurs de l'étude, financée dans le cadre du Programme de recherche et d'expérimentation sur l'énergie dans le bâtiment (Prebat), ont longuement interrogé les utilisateurs et les gérants de trois bâtiments tertiaires : le 270 et le Millénaire, tous deux situés à Aubervilliers et appartenant à Icade, ainsi que le pavillon d'accueil de l'institut de recherche Ineris à Verneuil-en-Halatte (Oise).

Des résultats décevants

Ces trois bâtiments partageaient des objectifs de réduction de consommation ambitieux. L'expérience montre que les deux bâtiments d'Icade ont manqué leur cible énergétique. La consommation réelle du 270 atteint 170 kWh/m² par an, soit 50 kWh/m² par an de plus que les prévisions. Le Millénaire a consommé, en 2008, 247 kWh/m 2, contre 217 kWh/m 2 prévu. Comparé à la norme RT 2005, le gain est donc faible, voire nul, mais il reste avantageux vis-à-vis du parc existant, dont l'Ademe estime la moyenne à 286 kWh/m² par an.

L'enquête de terrain a permis de mieux comprendre l'origine de ces dérives. Dans le cas du 270, c'est le cas d'école d'une mauvaise adéquation entre la conception du bâtiment et son usage. Conçu pour fonctionner de jour, il est en réalité occupé également la nuit, car l'un des locataires travaille dans la presse (« Paris-Turf »). Du coup, le chauffage et la climatisation ne passent jamais aux modes de veille prévus. « Pensé dans une logique mono-usage, le bâtiment n'a pas été conçu pour s'adapter à un usage différent à chaque plateau », diagnostique l'étude.

Les exploitants des bâtiments disent également buter sur la sophistication excessive des gestions techniques du bâtiment (GTB) informatiques, réédition du syndrome de la domotique des années 1980. Les occupants rivalisent d'anecdotes : les capteurs de présence déclenchent capricieusement les éclairages. Les stores robotisés, outre des problèmes de fiabilité des moteurs, ont été désactivés par les employés jugeant leur fonctionnement trop bruyant. Les grandes façades vitrées, prévues pour exploiter la lumière naturelle et améliorer le confort de vie, gênent le travail bureautique sur écran. Les utilisateurs ont donc privilégié l'éclairage artificiel et colmaté les baies vitrées, parfois par des cartons bricolés. L'impossibilité d'ouvrir les fenêtres gêne les salariés, qui se plaignent des odeurs corporelles en fin de journée. Quant au système de récupération des eaux pluviales, il n'a jamais été raccordé au double réseau existant. Même l'excellente isolation phonique des bureaux est vécue par certains comme une coupure gênante.

Le pavillon d'accueil de l'Ineris, lui, consomme un peu moins que prévu, bénéficiant de la simplicité de conception de ses dispositifs passifs. Quelques défauts persistent, comme le sous-dimensionnement des chasses d'eau économes, qui ont imposé leur arrêt. Le hall d'accueil est mal chauffé et nécessite des radiateurs d'appoint en hiver. En été, la ventilation nocturne, qui exploite l'inertie thermique du bâtiment, a trouvé ses limites dans les étages élevés, car des questions de sécurité empêchent l'ouverture des portes de bureau, indispensable au système. De plus, ce système est arrêté la nuit par les agents de sécurité qui ne supportent pas les courants d'air induits. « Si le bâtiment ne répond pas aux besoins fondamentaux des utilisateurs, il est alors illusoire d'espérer un comportement plus sobre de leur part », préviennent les auteurs.

Manque de savoir-faire

L'étude canadienne parvient aux mêmes conclusions pour expliquer la dérive de certains bâtiments : changements d'usage et sophistication excessive des technologies. Une étude plus ancienne de l'Energy Centre de l'université de Genève, sur un complexe suisse certifié Minergie, avait constaté une dégradation similaire des performances sur les deux premières années de la vie du bâtiment.

Ces dérives sont bien connues des spécialistes du bâtiment durable. Alain Bornarel, du bureau d'études spécialisé Tribu, rappelle également l'existence d'erreurs de conception et de construction, notamment dues au manque de savoir-faire des artisans français dans l'étanchéité à l'air. Il cite le cas d'un projet tertiaire qui prévoyait un système de ventilation à double flux. Quelques mois après réception, le maître d'ouvrage constate que ses consommations d'énergie sont deux fois plus élevées que prévu. « Le maître d'ouvrage et son bureau d'études avaient décidé, pour des raisons de coût et de facilité d'entretien, de supprimer l'échangeur de chaleur du système », sourit-il. Pour autant, Alain Bornarel se garde bien de fustiger les erreurs de jeunesse de la construction durable : « Je revendique le droit à l'expérimentation et à l'innovation. Il faut suivre sur 2 ou 3 ans le début de vie d'un bâtiment pour stabiliser ses performances.» D'ailleurs, l'expérience n'a pas dissuadé Icade de poursuivre son acquisition de 250.000 m² d'immeubles certifiés HQE.

Source : Les Echos, 23/03/10

10 applications iPhone innovantes

Pour se démarquer des concurrents, marques et éditeurs web sur l'originalité de leurs services mobile. Ces outils, pour la plupart complémentaires de services en ligne leur permettent par ailleurs de disposer d'une source de revenus supplémentaire.

Découvrez dix de ces services originaux en cliquant ici.

Source: JDNet

Google a investi 4 millions de dollars en lobbying en 2009

A l'image du moteur de recherche, les entreprises high tech investissent de plus en plus dans des actions de lobbying institutionnel aux Etats-Unis à mesure que la législation touchant le secteur évolue.

En 2009, les acteurs du Web et de la high tech ont investi près de 120 millions de dollars en actions de lobbying auprès de la classe politique américaine, selon le Center for Responsive Politics (RSP). En une décennie, les entreprises high tech ont ainsi dépensé plus d'un milliard de dollars en lobbying institutionnel, soit la quatrième plus importante somme investie par les 120 secteurs d'activité étudiés par le RSP.

Microsoft est l'entreprise qui a le plus investi dans sa stratégie d'influence en 2009, avec un budget de 6,7 millions d'euros. Le premier acteur de l'e-business reste cependant Google avec un peu plus de 4 millions d'euros dépensés en 2009. En seulement six années, le moteur de recherche américain a multiplié par 50 son budget lobbying à Washington. Yahoo, Amazon et eBay ont quant à eux respectivement dépensé 1,97, 1,84 et 1,81 million de dollars.

La part croissance des nouvelles technologies dans la vie des américains a poussé les législateurs à multiplier les textes de lois au cours des dernières années : sur la protection de la vie privée, la dématérialisation des procédures administratives ou la bataille à venir sur la neutralité du Net, etc. Selon le RSP, la particularité du secteur high tech est par ailleurs d'être en grande partie composé de petites entreprises aux moyens modestes. Mais bout à bout, les petits budgets d'influence de ces entreprises se transforment en une somme considérable.

Source: JDNet

Un kit pour choisir la solution de cloud la plus adaptée à son entreprise

L'université de Saint Andrews propose une boîte à outils permettant aux entreprises d'évaluer le plus exhaustivement possible la migration d'une partie de leur activité dans les nuages: au niveau technique, organisationnel...

Malgré les nombreux avantages du cloud computing, les décideurs ont encore beaucoup de mal à franchir le pas. Faute de savoir évaluer leurs besoins et identifier les solutions appropriées. C'est à leur intention qu'une équipe de l'université de Saint Andrews a développé un kit d'adoption du cloud (cloud adoption toolkit). Celui-ci permet aux entreprises de définir les problèmes auxquels elles sont confrontées en prenant en compte tous les aspects possibles. Ensuite, différents outils sont mis à leur disposition pour évaluer les solutions dans les nuages selon des critères objectifs. Le premier de ce kit est une analyse de la pertinence technologique. Il vise à déterminer si la solution étudiée dispose des caractéristiques techniques répondant aux problématiques de l'entreprise.


Evaluer la technique et les coûts

Il s'agit en fait d'une liste de questions à se poser en termes d'élasticité de la solution évaluée, de communication (temps de latence, bande passante), de sécurité, etc. Des interrogations qui peuvent avoir une importance très importante pour une société. Dans une deuxième étape, le système utilise un outil de simulation des coûts. Il permet à ses utilisateurs de modéliser une application logicielle en termes de ressources utilisées. L'outil évalue ensuite le coût opérationnel d'un tel système selon qu'il est déployé dans les nuages, en interne ou via une solution hybride. L'analyse prend également en compte la consommation énergétique du système étudié. Au delà de ces aspects techniques et économiques, la réflexion proposée par les chercheurs prend également en compte les changements organisationnels. Une analyse de l'impact d'une solution sur les parties prenantes a pour cela été développée.


Quel impact sur les différentes parties prenantes

Elle vise à permettre aux décideurs de se poser les bonnes questions. Par exemple : ses utilisateurs vont-ils devoir changer leur manière de travailler, et comment ? Quel intérêt vont-ils y trouver ? Comment perçoivent-ils le changement ? Différents services ou niveaux hiérarchiques ne percevront pas une migration dans les nuages de la même manière et tous ces avis doivent être pris en compte et anticipés, rappellent les chercheurs. Enfin, un dernier outil permet de modéliser la répartition des responsabilités au sein de l'entreprise vis à vis de la solution étudiée. Souvent, plusieurs départements seront concernés et il faut avoir une vision claire de qui décidera de quoi. Les chercheurs concluent en expliquant que d'autres outils d'évaluation pourront être incorporées à leur système. Pour l'heure, ils envisagent de tester leur système sur différents cas en entreprise.

SOURCE : L'Atelier

Des systèmes de conseil individualisés accessibles à tous

En décrivant sa demande et en répondant à quelques questions, il est possible d'accéder en quelques clics aux conseils personnalisés d'experts. Ceux-ci alimentent le système sans intervention d'un informaticien.

Help

Les systèmes de conseil individualisés (IAS*) permettent à leurs utilisateurs de retrouver automatiquement les recommandations d'un expert au regard d'une situation précise. Ces dispositifs informatiques reposent sur l'expertise de spécialistes qui se chargent de trier et d'annoter les contenus. Cependant, comme leur mise en place et, par la suite, la moindre évolution nécessitent l'intervention d'un informaticien, ils sont au final assez peu utilisés. C'est pourquoi des chercheurs de l'université de Limerick en Irlande proposent un système qui permet aux spécialistes d'un domaine de construire un IAS sans avoir besoin de programmer quoi que ce soit. Pour cela, le système est divisé en deux parties bien distinctes : l'interface expert et le "moteur de conseil". L'interface expert sert à traduire en langage informatique les règles posées par le spécialiste.

L'expert, seul à l'origine de l'intelligence du système

Ces règles allant des attributs, jusqu'aux contenus et conseils fournis, en passant par les questions à poser. Le moteur de conseil, la deuxième partie du système proposé, constitue l'architecture logicielle du système. C'est elle qui va relier la demande d'un utilisateur à un contenu donné en se basant sur les règles définies par l'expert. Les chercheurs expliquent que si la création d'une IAS demande la mise en place d'une équipe multidisciplinaire, elle peut ensuite être alimentée par un expert seul. L'avantage d'une telle infrastructure est qu'elle peut être utilisée dans des domaines très divers. En effet, son architecture logicielle n'est pas construite pour répondre aux problématiques d'un domaine précis mais pour répondre aux exigences d'un expert, quelle que soit sa spécialité.

Retrouver plus facilement l'information

Les chercheurs ont par exemple bâti un système de conseil individualisé à destination du personnel médical chargé de s'occuper d'enfants connaissant un retard de développement. En entreprise, cela permettrait d'accéder plus aisément à des expertises sur des sujets précis. Pour rappel, le principe du système de conseil individualisé est de collecter auprès de son utilisateur toutes les informations sur sa situation, de les utiliser pour poser des questions précises et finalement se servir des réponses pour fournir un conseil individualisé. A tout moment, l'expert peut améliorer l'IAS en prenant en compte les retours d'expérience de ses différents utilisateurs, en changeant les règles d'attribution du contenu ou en actualisant ce dernier.

* Individualized Advice System

Source: L'atelier

lundi 22 mars 2010

Nano-based RFID tags could replace bar codes

Rice researchers, in collaboration with a team led by Gyou-jin Cho at Sunchon National University in Korea, have come up with an inexpensive, printable transmitter that can be invisibly embedded in packaging. It would allow a customer to walk a cart full of groceries or other goods past a scanner on the way to the car; the scanner would read all items in the cart at once, total them up and charge the customer's account while adjusting the store's inventory.

More advanced versions could collect all the information about the contents of a store in an instant, letting a retailer know where every package is at any time.


The technology reported in the March issue of the journal IEEE Transactions on Electron Devices is based on a carbon-nanotube-infused ink for ink-jet printers first developed in the Rice lab of James Tour, the T.T. and W.F. Chao Chair in Chemistry as well as a professor of mechanical engineering and materials science and of computer science. The ink is used to make thin-film transistors, a key element in radio-frequency identification (RFID) tags that can be printed on paper or plastic.

"We are going to a society where RFID is a key player," said Cho, a professor of printed electronics engineering at Sunchon, who expects the technology to mature in five years. Cho and his team are developing the electronics as well as the roll-to-roll printing process that, he said, will bring the cost of printing the tags down to a penny apiece and make them ubiquitous.

RFID tags are almost everywhere already. The tiny electronic transmitters are used to identify and track products and farm animals. They're in passports, library books and devices that let drivers pass through tollbooths without digging for change.

The technology behind RFID goes back to the 1940s, when Léon Theremin, inventor of the self-named electronic music instrument heard in so many '50s science fiction and horror movies, came up with a spy tool for the Soviet Union that drew power from and retransmitted radio waves.


RFID itself came into being in the 1970s and has been widely adopted by the Department of Defense and industry to track shipping containers as they make their way around the world, among many other uses.

But RFID tags to date are largely silicon-based. Paper or plastic tags printed as part of a package would cut costs dramatically. Cho expects his roll-to-roll technique, which uses a gravure process rather than ink-jet printers, to replace the bar codes now festooned on just about everything you can buy.

Cho, Tour and their teams reported in the journal a three-step process to print one-bit tags, including the antenna, electrodes and dielectric layers, on plastic foil. Cho's lab is working on 16-bit tags that would hold a more practical amount of information and be printable on paper as well.

Cho came across Tour's inks while spending a sabbatical at Rice in 2005. "Professor Tour first recommended we use single-walled carbon nanotubes for printing thin-film transistors," Cho said.

Tour's lab continues to support the project in an advisory role and occasionally hosts Cho's students. Tour said Rice owns half of the patent, still pending, upon which all of the technology is based. "Gyou-jin has carried the brunt of this, and it's his sole project," Tour said. "We are advisers and we still send him the raw materials" -- the single-walled carbon nanotubes produced at Rice.

Printable RFIDs are practical because they're passive. The tags power up when hit by radio waves at the right frequency and return the information they contain. "If there's no power source, there's no lifetime limit. When they receive the RF signal, they emit," Tour said.

There are several hurdles to commercialization. First, the device must be reduced to the size of a bar code, about a third the size of the one reported in the paper, Tour said. Second, its range must increase.

"Right now, the emitter has to be pretty close to the tags, but it's getting farther all the time," he said. "The practical distance to have it ring up all the items in your shopping cart is a meter. But the ultimate would be to signal and get immediate response back from every item in your store – what's on the shelves, their dates, everything.

"At 300 meters, you're set – you have real-time information on every item in a warehouse. If something falls behind a shelf, you know about it. If a product is about to expire, you know to move it to the front – or to the bargain bin."

Tour allayed concerns about the fate of nanotubes in packaging. "The amount of nanotubes in an RFID tag is probably less than a picogram. That means you can produce one trillion of them from a gram of nanotubes – a miniscule amount. Our HiPco reactor produces a gram of nanotubes an hour, and that would be enough to handle every item in every Walmart.

"In fact, more nanotubes occur naturally in the environment, so it's not even fair to say the risk is minimal. It's infinitesimal."

Co-authors of the paper include Rice graduate student Ashley Leonard; Minhun Jung, Jinsoo Noh and Gwangyong Lee of Sunchon National University; and Jaeyoung Kim, Namsoo Lim, Chaemin Lim, Junseok Kim, Kyunghwan Jung and Hwiwon Kang of the Printed Electronics Research Center, Paru Corp., Sunchon, Korea.

SOURCE : Eurekalert

samedi 20 mars 2010

Wang a free iPad?

In the 1960s, my uncle made a good living buying up slightly imperfect Levis and reselling them at a steep discount in poor countries.
That business model is being followed today by iPodMeister. The company, based in New York, takes your used CDs and DVDs, sends them off to poorer countries where people can't afford MP3 players, and gives you a new iPod, iPhone and now iPad in return.
What you get depends on what you give. In exchange for 220 discs, you'll get an 8GB iPod Nano. A 16GB iPhone 3GS goes for 330 discs. And a 16GB iPad with Wi-Fi can be had if you have 600 discs. If you want the top of the line iPad, a 64GB model with Wi-Fi and 3G capability, that will cost you 1,150 discs.
All genres of discs are accepted, with certain limitations. No porn, no scratched discs, no promotional discs, and 20 copies of your garage band's CD are verboten.
The album cover art plus the CD folder must be intact and in good shape. Promotional compilation discs, such as "Macy's Favorite Christmas Songs" are not taken. Blu-ray discs get you double credit, and each disc of a multi-disc collection are counted.
If you're turning in DVDs, you can send only Region 1 or all-region discs.
Shipping of the discs to iPodMeister is free. And if you're worried about losing all that great music, the company will digitize it and return it on a disc, if you're willing to send in even more CDs. For example, that 64GB iPad with Wi-Fi and 3G connectivity will cost you 1,400 discs, if you want the music copied.
Source: 20/03/10

jeudi 18 mars 2010

Le marché des applications mobiles devrait presque tripler d'ici à 2012

SAN FRANCISCO — Le marché des applications pour téléphones et autres appareils portables devrait presque tripler d'ici à 2012, pour atteindre 17,5 milliards de dollars, ce qui présage que l'internet mobile "éclipsera" la navigation sur ordinateur, selon une étude publiée mercredi.
Alors qu'un peu plus de sept milliards d'applications ont été téléchargées en 2009, il devrait y avoir 50 milliards de téléchargements en 2012, selon une étude réalisée par le cabinet Chetan Sharma pour le compte de GetJar, la deuxième plus grande boutique en ligne d'applications.
"Il est facile de voir que les applications mobiles éclipseront l'internet traditionnel sur ordinateur fixe", a indiqué à l'AFP le directeur général de GetJar, Ilja Laurs.
Les applications mobiles existent depuis la fin des années 1990, mais c'est vraiment le lancement de l'"App Store" par Apple, destinée aux téléphones iPhone et aux baladeurs iPod Touch, qui a été l'élément déclencheur de leur essor, en 2008.
Actuellement, le marché est évalué à environ 6 milliards de dollars, mais son expansion est assurée: les entrepreneurs de l'internet se précipitent pour développer une multitude de fonctionnalités permettant d'exploiter au maximum les ressources des appareils portables.
GetJar assure déjà que 17% de ses clients passent plus de temps à surfer le web sur leur appareil portable que sur leur ordinateur.
"Depuis des jeux très interactifs (...) jusqu'à des sites simples pour des informations ou la météo, il y a des +apps+ pratiquement pour tout. De la préparation d'examens aux calculateurs d'ivresse", souligne le rapport publié par GetJar.
Pas étonnant du coup qu'Apple ait annoncé récemment que l'App Store a dépassé le seuil de 3 milliards d'applications téléchargées.
Les applications payantes se vendaient en moyenne 2 dollars en 2009, mais le prix moyen devrait tomber à 1,50 dollar d'ici deux ans, selon le rapport: "ce rapport montre que c'est la loi du plus fort qui va prévaloir parmi les applications" souligne M. Laurs.

Source: AFP, 18/03/10
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Quand les lampes font office de routeurs pour l'information

Le Fraunhofer propose d'utiliser les installations lumineuses préexistantes pour transmettre des données au sein d'une pièce. Le système de transmission optique sans-fil module la lumière de manière imperceptible.

Ampoule

Utiliser l'éclairage de la pièce pour transmettre des informations imperceptibles à l'œil nu mais captées par un ordinateur. C'est le projet d'une équipe du Fraunhofer Institute for Telecommunications, qui propose d'utiliser les installations lumineuses existantes pour la communication optique sans-fil. "L'idée est d'utiliser la lumière qui est déjà là, et les infrastructures qui fournissent l'énergie nécessaire aux lampes du bureau, pour obtenir un service additionnel à moindre effort" explique à L'Atelier Klaus-Dieter Langer, l'un des chercheurs associés au projet. Le système ne devant ni perturber ni réduire la fonction première des appareils utilisés. Concrètement, le système fait vaciller très faiblement la lumière. "Vous pouvez imaginer éteindre la lumière pour transmettre un '1' et l'allumer pour transmettre un '0' par exemple" poursuit le scientifique. "Le tout est de le faire suffisamment rapidement pour que ce crépitement soit imperceptible à l'œil humain, et qu'il ne dérange en aucune façon les individus présents dans la pièce".

Transmettre des informations à une vitesse de 500 mégabits par seconde

La photodiode qui sert de récepteur perçoit le signal lumineux et transmet le message à l'ordinateur auquel elle est rattachée. L'équipe de chercheurs est parvenue à augmenter sensiblement la vitesse de l'opération, de 10 mégabits par seconde à près de 230 mégabits par seconde. Ce, en utilisant un filtre bleu placé sur le photo-détecteur. En effet, "la lumière est composée de plusieurs couleurs. Exploiter la teinte bleue permet d'augmenter la vitesse de la transmission", précise le chercheur. Par ailleurs, les scientifiques proposent d'autres opérations que la simple "extinction alternée". Moduler la lumière peut se faire de manière plus sophistiquée. Ce qui permet, selon les chercheurs, de transmettre des informations plus riches à une vitesse de 500 mégabits par seconde.

Le système se prête particulièrement aux espaces constamment éclairés

En utilisant toujours la même installation lumineuse. A noter : puisque le système est intrinsèquement lié aux installations lumineuses, il se prête particulièrement aux espaces constamment éclairés. "Comme les grands bureaux, les transports publics, ou même les musées ou les supermarchés" explique le chercheur. Qui précise également que la communication optique sans-fil est idéale pour les établissements bancaires, dans la mesure où elle permet des transferts d'information sécurisés (la lumière étant restreinte à la pièce et ne traversant pas les surfaces opaques). Pour rappel : une équipe de la Penn State University proposait déjà de s'en remettre aux appareils de transmission optique sans-fil pour sécuriser les réseaux dans les hôpitaux ou les aéroports.

Source: L'Atelier

Trada Raises $2.2 Million For Crowdsourced SEM Management Service

Stealth startup Trada launched to the public today as an online marketplace allowing small and medium businesses and agencies to essentially crowdsource search engine marketing services. The startup has raised $2.2 million from the Foundry Group and angel investors Alan Warms, Carlos Cashman, Dan Murray, James Crouthamel, Stuart Larkins and Robert Wolfe.

As we all know, search advertising is necessary for businesses but SEM can be a time consuming, perplexing and tedious task. Many businesses overpay for common keywords or don’t use the right keywords to drive traffic. Trada comes into play here by crowdsourcing SEM experts to build and manage and advertiser or business’ paid search campaign across search engines. The service currently supports Google AdWords and Yahoo Search Marketing.

Essentially, Trada ends up being a middleman for coordinating SEM service. Advertisers use Trada to enter information about a campaign and experts, who must be AdWords or SEMPO certified and pass Trada certification, use the site to find interesting campaigns and submit keywords, ad copy and bid prices across the search engines and to track and optimize campaigns across the ad networks. Trada coordinates the payments and takes a small cut of each transaction between advertisers and SEO experts.

The benefit for the SEM experts is that they don’t have to deal with the administrative and management issues with clients. Experts earn money when they generate clicks or other actions for less than the advertiser’s target price. Advertisers get 25 qualified experts to work on their campaigns and according to Trada, those businesses who participated in the private beta of the service are seeing successful results.

Trada entered private beta in January 2009 and currently has 70 advertisers and 280 experts to date. Founded by entrepreneur Niel Robertson, Trada was born after Robertson grew frustrated managing his own $8,000-a-month paid search campaign. Realizing that paid search campaigns are best left to experts, he thought an online marketplace for PPC experts and businesses would be the best way to maximize SEM. The startup faces competition from Kenshoo, Conductor and many others.

Source: Techcrunch

The Top 15 Brands on the App Store Might Surprise You

Brands are increasingly prominent on the App Store and Apple tends to love featuring folks like Britney Spears and Coca-Cola on the App Store’s front page. But who’s actually succeeding and which brands have managed to maintain high download numbers?

PositionApp, the app that lets you track how iPhone apps are doing on the App Store rankings, might have the answer. They track and record the top 300 apps across all demographics and have provided us with details on the top 15 apps in the US App Store. Hit the jump for the list.

The first two apps, Facebook and Pandora, are clear favorites and there’s no real surprise there. But then it gets a bit tricky. Somehow, Driver’s Ed.com and Gibson Learn and Master Guitar are the next two. Though valuable applications (or so it seems), it’s intriguing that folks like Disney and Comcast are managing to take a back seat to lesser known brands.

Of course, there are plenty of high-quality brands on here. Companies like eBay, MySpace, Bank of America and PayPal are all doing quite well, and have managed to sustain their high position for at least 4 weeks.

Ultimately, it’s hard to figure out from this list what exactly makes a branded app successful, though one thing’s for sure: brands have started to consume the iPhone and pretty much everyone has to have an “iPhone” strategy. Success definitely seems indirectly related to providing value, as applications like Facebook / The Weather Channel and Paypal show.

So what do you think? How did these apps become successful as compared to the hundreds of other equally popular brands who created apps that flopped?

Source: TechCrunch

mercredi 17 mars 2010

The Networked Grid 100: Movers and Shakers of the Smart Grid

Smart Grid Revolution Becomes “Disruptive” for Utilities Worldwide According to New Microsoft Survey

HOUSTON — March 11, 2010 — Only 8 percent of utilities around the world have completed their smart grid technology implementations while 37 percent have projects underway and more than half haven’t yet started, according to a new Microsoft Corp. survey.

The Microsoft Worldwide Utility Industry Survey 2010, released today at CERAWeek 2010 in Houston, surveyed almost 200 professionals within electric, gas and water utilities and related companies around the world. The survey highlights a range of challenges — from financial and regulatory to technology and return on investment — for utilities already unsure of the right path to building the smart grid.

“As this study clearly shows, the disruptive nature of the smart grid revolution, and the innovations it brings, has caught many in the industry by surprise, including many utilities that already have embraced smart grid technologies,” said Jon Arnold, managing director for the Worldwide Power & Utilities Industry at Microsoft, who was recently named one of the 100 People You Must Know in Smart Grid by Greentech Media Inc. “Some incorrectly assert that the utility industry is unwilling to change, but the survey shows the opposite. It’s the magnitude of change to everything from business models to systems that’s overwhelming, especially given utilities’ existing asset and technology investments combined with the need to ensure profitability and reliability.”

Distribution Management and Smart Metering Are Critical

The survey shows that utilities professionals and executives perceive distribution management and smart metering solutions as the most important technologies for successful smart grid implementations. Integration of renewable energy sources into the smart grid and consumer energy management solutions follow closely. However, 63 percent of the respondents in the Americas think the information technologies available today are not sufficient to address future challenges, while only 45 percent and 42 percent of respondents in Europe, Middle East and Africa (EMEA) and Asia Pacific respectively believe they are insufficient.

“The clear objective is to optimize current power generation and delivery assets to help utilities improve grid reliability; achieve demand response, environmental and conservation goals; and avoid unnecessary capital expenditures,” said Julie Hance, vice president of software solutions for Itron North America, a Microsoft partner. “It will take close industrywide collaboration — from the smart meter into the home and the smart meter back to the array of generation sources — to complete this complex task and achieve a smarter, more sustainable future.”

Respondents worldwide cite financial concerns — both costs and return on investment — as the main challenge to smart grid development. They also cite regulatory factors as the most influential to smart grid technology deployment decisions. However, the economic climate is tied with regulatory factors as the two biggest influencers among Asia Pacific respondents.

The survey reveals that 42 percent of the respondents are currently incorporating distributed generation sources such as wind and solar on rooftops and another 25 percent will begin to incorporate these sources in the next one to three years. Also, by early 2013, half of the respondents expect to offer time-of-use pricing to all of their residential customers.

Only 8 percent of respondents believe their utility has a technology architecture that is adequate to support new business processes and new technologies. To fund all of these investments, 77 percent of respondents expect their budgets for smart grid technologies to increase over the next two to three years.

“The inevitability of change combined with financial and regulatory uncertainty makes it critical for utilities to begin implementing the right technology capabilities now to meet the challenge of any regulation, energy source or distribution need in the future,” Arnold said.

Founded in 1975, Microsoft (Nasdaq “MSFT”) is the worldwide leader in software, services and solutions that help people and businesses realize their full potential.

Pour s'adapter au niveau de l'apprenant, l'ordinateur cible les pensées

Pour l'université de Kharkov, étudier l'activité cérébrale pour déterminer le degré de compréhension d'un élève améliore l'apprentissage à distance. Mais repérer une difficulté et s'y adapter sont deux choses différentes.

Obtenir des informations sur le fonctionnement du cerveau en le reliant à un ordinateur à l'aide de capteurs neuronaux optimisera la formation en ligne. C'est ce qu'anticipe un chercheur ukrainien de l'université nationale de Kharkov. Il explique que cela permettrait d'adapter l'expérience d'e-learning à l'utilisateur de manière approfondie. "C'est la quête de tout pédagogue que de diagnostiquer les erreurs et le cheminement intellectuel qui y est associé", confirme à L'Atelier Jérôme Bruet, directeur général d’e-doceo. Par exemple, le système surveillera l'activité cérébrale d'un élève en train de suivre un cours vidéo. D'après le chercheur ukrainien, le système sera capable d'estimer le degré de compréhension de l'apprenant, selon le principe du neurofeedback.


Quel contenu proposer une fois la difficulté diagnostiquée ?

Cette pratique vise à utiliser l'électroencéphalographie pour mieux appréhender le fonctionnement du cerveau - et mieux le contrôler. A partir de ces données, le système estimera si l'étudiant éprouve des difficultés de compréhension, et donc prendra les mesures nécessaires. Comme d'arrêter la vidéo pour fournir des informations complémentaires ou changer la manière dont elles sont présentées. Une affirmation qui laisse Jérôme Bruet beaucoup plus sceptique. "La vraie question qui se pose, c'est celle du contenu qu'on propose", explique-t-il. "Quel scénario va-t-on suivre après l'arrêt de la vidéo ?". Pour lui les capteurs vont soulever un problème, mais pas le résoudre.


Le rôle du formateur change

"L'e-learning utilise déjà les nouvelles technologies pour créer des parcours de formation qui s'adaptent au profil des individus", poursuit-il. "Mais analyser le profil des candidats et s'y adapter sont deux choses différentes". Le chercheur ukrainien explique qu'un tel système permettrait d'automatiser le processus d'apprentissage. Aux dépens du formateur ? Pour Jérôme Bruet, "c'est un faux débat". "Certaines parties de l'apprentissage ne nécessitent pas d'échange fort. La machine permet au contraire une personnalisation plus grande que ne pourrait le faire un formateur dans une classe". Pour le directeur général, ceux-ci auront toujours leur place dans l'animation de l'ensemble des ressources pédagogiques.

SOURCE : L'Atelier

L’ électroménager intelligent, un marché qui va quintupler

Frigos et lave-vaisselle intelligents, capables (ente autres) d’économiser leur consommation en dialoguant avec le réseau électrique, seront monnaie courante dans cinq ans : selon une étude du cabinet Zpryme, le marché mondial des appareils électroménagers intelligents va quintupler d’ici 2015, en passant de 3,06 milliards de dollars en 2011 à 15,12 milliards.

Les plus courants devraient être les réfrigérateurs et les lave-vaisselle intelligents, dont les ventes atteindront respectivement 3,54 et 2,69 milliards de dollars – à condition que l’éducation du consommateur se fasse.

En 2011, les Etats-Unis devraient dominer ce marché avec 46% des ventes mondiales, soit 1,43 milliard de dollars, mais leur part en 2015 redescendra à environ 36% du total, soit 5,46 milliards.

La Chine en 2011 représentera 11,6% du marché mondial (355 millions de dollars) puis 18,2% en 2015 (2,76 mds) en 2015.

En Europe, la Grande-Bretagne compterait pour 4,8% du marché mondial en 2011 (avec 146 millions de dollars de ventes) puis 6,4% en 2015 (969 millions).

Enfin l’Australie passerait de 2,8% à 3,1% du marché mondial, soit de 87 à 470 millions de dollars.

Le reste du monde représentera 34,2% du marché en 2011 (1,05 milliard) et 36,3% en 2015 (5,51 milliards).

Au Japon, les consommateurs pourraient bien se révéler particulièrement réceptifs à tout ce qui concerne le smart grid, électroménager compris, et devenir un grand pays consommateur de ces appareils, comme l’illustre la joint venture de General Electric qui y fabrique des compteurs intelligents avec le groupe japonais Fuji Electric Holdings.

Plusieurs facteurs porteront le marché : baisse du prix des appareils, performances énergétiques, mise en place d’un réseau électrique intelligent et aides gouvernementales.

Mené par des fabricants comme General Electric et Whirlpool, en pointe dans ce domaine, avec des capacités d’interconnexion proposées par des groupes comme Trilliant ou Tendril (où GE a pris une participation), ce marché verra les consommateurs s’équiper d'abord de gros appareils, type réfrigérateurs ou lave-vaisselle, lave-linge, séchoirs, fours et cuisinières, selon cette étude.

La Chine avance résolument dans le smart grid

Les Etats-Unis et la Chine devraient de loin être les deux pays à consacrer le plus d’aides publiques à la mise en place d’un réseau électrique intelligent : la Chine devrait y consacrer 7,3 milliards de dollars en 2010 et les Etats-Unis 7,1 milliards, selon une autre étude de Zpryme baptisée Smart Grid Snapshot.

Viennent ensuite le Japon (849 millions de dollars d’aides au secteur), la Corée du Sud (824 millions) et l’Espagne (807 millions).

En dépense de smart grid par habitant, les Etats-Unis sont en tête avec 23,09 dollars, suivis de l’Espagne (19,9 dollars), de la Corée du Sud (17 dollars) et de l’Australie (16,92 dollars).

La Chine est particulièrement active pour développer un réseau d’énergie intelligent, allant des lignes à très haute tension aux compteurs intelligents, d’autant plus qu’elle doit justement moderniser un réseau vétuste.

Les grandes entreprises ne s’y trompent pas : IBM, qui s’intéresse de plus en plus au smart grid, vient d’inaugurer à Pékin son Centre spécialisé de recherché dans l’Energie (Energy and Utilities Solutions Lab). IBM table sur un chiffre d’affaires de sa division énergie en Chine en hausse de 400 millions de dollars par an d’ici 2014, par rapport aux 2,6 milliards de dollars engrangés par IBM en Chine en 2008.

SOURCE : GreenUnivers

Les voitures du futur pourraient être alimentées par leur carrosserie, grâce à une nouvelle technologie de batterie

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62621.htm

Des scientifiques d'Imperial College London développent un nouveau matériau composite à base de fibres de carbone et d'une résine polymère multifonctionnelle, qui pourrait révolutionner la conception et la fabrication des automobiles. En effet, selon les scientifiques en charge de ce projet financé à hauteur de 3,4 M euros, les pièces de carrosserie et de structure pour les véhicules automobiles pourraient un jour faire office de batterie.

Les chercheurs d'Imperial College London et leurs partenaires européens, dont Volvo Car Corporation, mettent au point un prototype à partir d'un matériau composite révolutionnaire permettant de stocker et de décharger de l'énergie électrique et étant assez solide et suffisamment léger pour pouvoir être utilisé comme pièce automobile. Les chercheurs s'attendent à ce que ce matériau soit utilisé pour la conception de véhicules hybrides thermique-électrique afin de les rendre plus légers, plus compacts et plus économes en énergie, permettant ainsi au conducteur de voyager sur de plus longues distances, sans besoin fréquent de recharge des batteries. Les chercheurs travaillant sur le projet estiment que ce matériau, breveté par Imperial College London, pourrait éventuellement être utilisé comme boîtier d'objets de la vie quotidienne, tels que les téléphones portables et les ordinateurs qui n'auraient alors plus besoin de batterie. Cela rendrait de tels dispositifs plus petits, plus légers et encore plus faciles à transporter.

Le coordinateur du projet, le Dr Emile Greenhalgh, de la faculté d'aéronautique à Imperial College London, déclarait à ce sujet : "Nous sommes vraiment enthousiasmés par le potentiel de cette nouvelle technologie. Nous pensons que grâce à notre nouveau matériau composite, la voiture du futur pourrait absorber le courant à partir de son toit, son capot ou même de l'une de ses portières. Même le navigateur par satellite pourrait être alimenté par son propre boîtier. Les futures applications de ce matériau ne s'arrêtent pas là : vous pourriez avoir un téléphone portable aussi mince qu'une carte de crédit car n'ayant plus besoin d'une batterie encombrante, ou un ordinateur portable qui peut couvrir ses besoins en électricité grâce à son enveloppe, de sorte qu'il puisse fonctionner plus longtemps sans être rechargé. Nous sommes à la première étape de ce projet et le chemin à parcourir est encore long, mais nous pensons que notre matériau composite est très prometteur". Les scientifiques envisagent de concevoir une cage de roue de secours à partir de ce nouveau matériau. A ce sujet, Volvo effectuera très bientôt une série de tests sur des véhicules dont le plancher de roue de secours aura été fabriqué à partir de ce matériau composite.

L'équipe en charge du projet explique que le remplacement de la cage de roue de secours habituellement métallique par ce composite, pourrait permettre à Volvo de réduire le nombre de batteries nécessaires à alimenter le moteur électrique de ses voitures hybrides. Les chercheurs pensent que cela pourrait conduire à une réduction de 15% du poids total de la voiture, ce qui devrait améliorer considérablement la gamme des futures voitures hybrides proposée par le constructeur automobile.

Les voitures hybrides actuelles comprennent un moteur à combustion interne, utilisé lors des phases de fortes accélérations, et un moteur électrique alimenté par des batteries, qui assure la mise en mouvement de la voiture, jusqu'à atteinte de la vitesse de croisière. Ces voitures hybrides ont besoin d'un grand nombre de batteries pour alimenter le moteur électrique, ce qui d'une part, rend le véhicule plus lourd, et d'autre part, signifie que la voiture consomme plus d'énergie et que les batteries doivent être régulièrement rechargées à intervalles rapprochés. Les chercheurs affirment que le matériau composite qu'ils développent, à base de fibres de carbone et d'une résine polymère, stockera et déchargera d'importantes quantités d'énergie beaucoup plus rapidement que les batteries classiques. En outre, le matériau ne nécessite pas le recours à des procédés chimiques, le rendant ainsi plus rapide à recharger que les batteries conventionnelles. Par ailleurs, toujours selon les chercheurs, le processus de recharge ne causera que très peu de dégradation au matériau composite car il ne s'agit pas d'une réaction chimique, tandis que les batteries conventionnelles se dégradent avec le temps. Le matériau pourrait être rechargé à la maison, par simple branchement de la voiture hybride sur une prise électrique. Les chercheurs explorent également d'autres façons de recharger le moteur électrique, en récupérant l'énergie cinétique lors des phases de décélération et de freinage.

Pour la première phase du projet, les chercheurs envisagent d'améliorer les propriétés du matériau afin qu'il puisse stocker d'avantage d'énergie. L'équipe améliorera les propriétés mécaniques du matériau grâce au procédé de croissance de nanotubes de carbone à la surface des fibres de carbone, ce qui devrait aussi augmenter la surface du matériau, et permettre d'améliorer sa capacité de stockage d'énergie. Les chercheurs prévoient également d'étudier la méthode la plus efficace de fabrication du matériau composite à l'échelle industrielle.

Ce projet, d'une durée de 3 ans, financé par l'Union Européenne, comprend des chercheurs des facultés de chimie, d'aéronautique, de génie chimique et de technologie chimique d'Imperial College London. Parmi les partenaires académiques et industriels européens on retrouve : Swerea SICOMP, INASCO Hella, Chalmers, Advanced Composites Group, Nanocyl, Volvo Car Corporation, Bundesanstalt für Materialforschung undprufung, ETC Battery and Fuel Cells Sweden.

SOURCE : BE Royaume-Uni numéro 102 (16/03/2010) - Ambassade de France au Royaume-Uni / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62621.htm